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 'Cause it's like you're my mirror.

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Ge Xiao Long
Les squelettes de son placard
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Ge Xiao Long
tel un warrior j'ai débarqué le : 31/12/2013
tema la secla, j'ai tant de messages : 79
et j'ai déjà la blinde de k₩ : 3959 alors j'suis célèbre à ma façon: :
'Cause it's like you're my mirror.  1390172709-left7 / 1007 / 100'Cause it's like you're my mirror.  1390172709-right
Azi tu veux un rp ? je suis : Ouvert aux négociations.
j'ai même d'autres gl pour te plaire : Le roi du monde.
en rp j'suis le sosie de : Kim HimChan
J'ai la vie d'vant moi, du haut d'mes : 23 ans.
Mais j'en ai déjà vécu des choses : fiche de présentation
mes journées sont bien remplies : Je chante la journée, je tue la nuit. Quelle vie passionnante.
avis aux stalkeurs : _ Stupeur et tremblements. w/ Hwang Kaylee.
_ Say something w/ Guo Daiyu.
_ Alter Ego w/ Nanase Lydia
_ My mirror standing in front of me. w/ Wu Da Long.
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«You were right here all along, It's like you're my mirror, My mirror staring back at me.»

Wu Da Long & Ge Xiao Long

Ma vie prend un tournant étrange ici. Les coréens sont étranges, ou alors est-ce moi ? Je n'en sais trop rien, toujours est-il qu'un peu plus de gens s'amassent quand je chante dans la rue ou dans les cafés. Des femmes m'ont déjà demandés de faire des photos avec moi ou que je leur signe des bouts de papiers. Je ne dis rien, je m'exécute. Après tout, elles m'offrent un bout de mon rêve sans le savoir. Je ne m'y habitue pas, elles crient parfois, elles parlent si vite qu'il m'est impossible de comprendre. Est-ce normal d'agir ainsi face à un chanteur de rue qu'elles n'ont sans doute vu qu'une fois ? Je prend ça pour un compliment, si elles font ça, c'est qu'elles ont aimé ma voix, non ?

J'ai toujours peur qu'elles s'approchent un peu trop, qu'elles voient l'arme que je porte chaque jour à la ceinture. Je pense à ce qui pourrait se passer si l'une d'entre elle venait à me suivre. Comment réagirait-elle si elle tombait sur une scène qu'elle n'aurait jamais dû voir. Je devrais sans doute la tuer, bien que je n'aime pas ça. Je ne laisserais personne me faire perdre mon travail, ma place et tout ce pour quoi je me suis battu jusqu'ici.

Aujourd'hui le temps est clair, je n'ai aucune cible pour la semaine à venir, du moins, pas pour l'instant. J'ai donc décidé d'aller faire un peu de shopping, je n'ai pas de nouvelles compositions et ma gorge me fait un peu mal à cause de la pluie de l'autre jour. La nouvelle collection vient de sortir et les défilés de la fashion week passe sur les écrans du centre commercial, c'est la seule façon que j'ai de pouvoir les regarder, alors je m'en contente.  J'aime cet endroit, les boutiques de luxe côtoient celles plus populaires. J'entre chez Chanel en premier lieu, j'y vais une fois par mois en moyenne et me permet de dépenser. J'ai de l'argent, j'en gagne suffisamment mais je ne veux pas risquer de tout dépenser non plus. Cette fois, ce sera une veste de costume et un tee-shirt, un pantalon de seconde main pourra faire l'affaire.

Je traîne, je profite de ce moment où je peux me consacrer à ma seconde passion sans penser à ce que je devrais faire le soir. Pour terminer en beauté, je m'arrête à Starbucks pour me prendre un Caramel macchiato puis sors du centre commercial, marchant vers le métro le plus proche. Je n'ai pas l'habitude de ce quartier et je risquerais de me perdre.  Au coin d'une rue, je tombe face une foule compacte de jeunes femmes, une bonne centaine, peut-être plus. Elles semblent attendre la sortie d'une quelconque célébrité puisque nous nous trouvons devant une station de radio. Je réfléchis alors un petit instant et commence à me frayer un chemin parmi la foule, répétant encore et encore des « Pardon excusez-moi, pardon. »

Les premières personnes se poussent, mais m'observent étrangement. Et puis soudain, un cri, un mouvement de foule et je me retrouve compressée entre des femmes qui semblent toute aller dans un sens contraire au mien. Je panique, je l'admets. Les bains de foules sont loin d'être mon quotidien et ils me donnent l'impression que je ne peux plus respirer normalement. J'essaye de tenir debout et ma main droite va naturellement se poser sur mon arme à l'arrière de ma ceinture. Je ne vais pas le dégainer, non, mais je ne veux pas prendre le risque de le sentir tomber, ou qu'une quelconque femme le sente en se pressant ainsi contre moi. Le bruit est assommant, elles parlent vite, elles semblent s'adresser à moi mais la panique me fait oublier toute notion de coréen. Pour la première fois de ma vie, j'espère que quelqu'un puisse me sauver, car il serait vraiment trop risquer pour ma couverture, que de me dévoiler ici, maintenant.
.
©Kali'


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Wu Da Long
Les squelettes de son placard
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Wu Da Long
tel un warrior j'ai débarqué le : 19/01/2014
tema la secla, j'ai tant de messages : 6
et j'ai déjà la blinde de k₩ : 3791 alors j'suis célèbre à ma façon: :
'Cause it's like you're my mirror.  1390172709-left60 / 10060 / 100'Cause it's like you're my mirror.  1390172709-right
Azi tu veux un rp ? je suis : dispo.
en rp j'suis le sosie de : kim himchan.
Mais j'en ai déjà vécu des choses : [url=http://]http://www.velvetdust-mag.com/t558-dalong-sur-la-musique-on-va-on-vient-corps-contre-corps-main-dans-la-main#9126[/url]
G.P. ❝ attention whore

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D'un certain point de vue on pourrait penser que tu es a présent qu'un simple produit commercial, elles se déplacent n'importe où tu vas, font tout pour te voir, avoir un contact de n'importe quelle sorte, certains les prennent pour des folles, d'autres ne comprennent pas ce comportement et toi tu es là derrière une vitre tel un animal en cage. Mais toi tu ne vois pas les choses de la même manière. Toi tu les vois comme des personnes fantastiques -sauf exception- elles sont toujours derrières toi quoi qu'il arrive elles te supportent, elles te donnent la force d'avancer, alors toi tu essaie de les remercier comme tu peux. Des sourires par-ci des sourires par-là, quand tu le peut tu fais quelque pause pour leur fansite respectif, oui tu tiens beaucoup à tes fans et c'est encore ce que tu expliquais aujourd'hui dans l'émission. Tu les voyais toutes excités lorsqu'elles entendaient cela, le sourire que tu avais sur tes lèvres ne t'avais pas quitté. Cependant celui-ci finit par s'effacer lorsque l'un des animateurs s'élance sur la question que tu n'aime réellement abordé : l'adoption, ta famille biologique. Tu ne comprends pas pourquoi chacun d'eux crève d'envie d'en savoir plus à ce sujet, hm après tout ils ne savent pas faire la différence entre vie privée et publique et puis n'oublie que tu es une idole, ta vie privée, elle est loin, très loin. Un débat c'était alors ouvert sur l'adoption et tout ce qui va avec, tu prenais part à celui-ci sans grand intérêt, finalement l'un des animateurs finit par changer de sujet, amen.

Lorsque l'émission fut terminée, tu étais allé donner quelques sucreries à tes fans puis tu étais repartis dans les studios pour te changer et prendre tes affaires. A présent posé sur un canapé ton manageur à tes côtés te listais toutes les tâches que tu aurais à faire demain, tu l'écoutais encore et encore zappant la plupart des choses qu'il te disait. La fatigue était présente, elle était lourde, tu ne voulais qu'une chose rentrer chez toi et te posais tranquillement devant ta télé faire des choses que tout le monde fait, ôter ta robe d'idole. Lorsqu'il eu finit de lire sa longue liste tu lui demanda simplement que celui-ci te l'envoya par mail, un soupire s'échappa de ses lèvres, un rire s'échappa des tiennes. « Oui je l'avoue je ne t'ai pas réellement écouté, désolé hyung. », une moue enfantine se dessina sur ton visage avant que tu te lève et enfile ton manteau puis ton écharpe et ton bonnet. « A demain et n'oublie pas de tout m'envoyer hein! Aller ne fais pas cette tête, un jour promis je t'écouterais vraiment. » tu lui fis alors un salut de la main alors que tu met ton sac sur ton épaule ton sourire toujours sur les lèvres, le personnel de la radio te raccompagnait jusqu'à ta voiture sachant pertinemment que tu allais sans doute avoir toutes tes fans autour de toi.

Une foule était là, devant ce bâtiment cependant elle n'était pas là pour toi. Tu ne comprenais pas réellement ce qu'il se passait, il n'y avait aucun autre invité ce soir, alors pourquoi toute cette foule ? Le personnel se sentait alors soulagé, ils n'auront pas à crier pour que l'on te laisse passer et autres. Tu t'étais tout de même tourné pour demander à l'un des membres du personnel ce qu'il se passait lui même ne savait pas réellement. Plusieurs fans qui avaient finalement abandonné pour voir de plus près la personne, s'étaient alors jeté sur toi avant de crier que Da Long oppa était là et pas là-bas. Incompréhension total, oui pourquoi pensaient-elles que tu étais là-bas alors que tu n'étais même pas encore à l'extérieur lorsque la foule s'était formée ? Hm peut-être qu'un coréen te ressemblait et avait voulu faire comme s'il était toi, qui sait. Tout le monde se ruât alors vers toi et voilà que le personnel devait finalement faire son boulot, un sourire sur les lèvres tu répondais à certaines fans tout en continuant de marcher essayant de voir la personne qui avait causé toute cette foule. « OMO ! OMO ! Mais ils se ressemblent comme deux gouttes d'eau. On s'est faite trompé par un imposteur. » à plusieurs reprise tu entendais des phrases de ce genre, tu t'arrêta alors d'un coup et essaya tant bien que mal de réussir à passer à travers tout ce monde pour essayer d'arriver à la hauteur de cet « imposteur ».

Il est comme toi, son visage marque cependant un côté plus sombre que le tien, mais il est identique à toi, ta copie, rien ne change rien, ce n'est pas un reflet, ce n'est ni une blague. Là face à toi il y a une personne une personne qui t'es totalement inconnu mais qui est en quelques sortes toi. Qui est-il, d'où il vient, pourquoi te ressemble t-il ? Un frère ? Après tout ta vie avant la Corée c'était quoi, ta famille en Chine c'était qui, il te reste encore tant de question auxquelles tu n'as aucune réponse peut-être qu'aujourd'hui tu aura au moins une réponse à toutes ces questions. Tu étais là devant lui, tu ne bougeais plus comme si le temps s'était arrêté. Tu continuais à le regarder alors qu'autour de toi tout le monde poussait des cries de surprises, si ils étaient tous perdu, tu l'étais sans doute encore plus et lui aussi.
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Ge Xiao Long
Les squelettes de son placard
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Ge Xiao Long
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J'ai la vie d'vant moi, du haut d'mes : 23 ans.
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«You were right here all along, It's like you're my mirror, My mirror staring back at me.»

Wu Da Long & Ge Xiao Long

Le temps est suspendu. Je n'entends plus rien, je n'ai plus conscience de rien. Les femmes sont toujours autour de moi, à crier des mots que je ne suis plus capable de comprendre, et quand bien même il eut été en chinois, que je n'aurais probablement pas mieux compris. Je suis paralysé, déconnecté de tout ce qui pourrait être une réalité. Suis-je seulement encore dans la réalité ? Suis-je éveillé ? Je ne comprends plus rien. Comment est-ce possible que je sois là, debout, au milieu d'une foule compacte et que face à moi se trouve, et bien, moi-même ?

Cet homme est en tout point semblable à ce que je connais de mon visage. Nos cheveux ne sont pas de la même couleurs, pas vraiment coiffés de la même manière mais d'un autre côté, peu de gens portent les cheveux verts comme je les aient en ce moment. Ses vêtements sont luxueux et s'accommodent à la perfection. Il porte de légers bijoux, il est maquillé aussi, je peux le voir à ses yeux et à son teint parfait. Il a un corps fin mais on voit qu'il doit être structuré par la manière dont il se tient et dont les vêtements lui vont. Ses yeux ont l'air plus grand que les miens mais je suppose que le maquillage donne cet effet. Il me fixe mais ça ne me gêne pas, pas comme d'habitude. C'est déstabilisant, mais ça ne me met pas mal à l'aise.

Étrangement, au-delà de la perturbation, je me sens calme, serein et détendu.  Son visage est surpris mais doux ou du moins, il me le semble. Ma respiration est calme, posée et pourtant j'ai l'impression que l'on m'oppresse, comme si deux larges mains serraient ma poitrine. Je ne peux pas prétendre me connaître dans les moindres détails, je ne me regarde pas suffisamment pour cela, pourtant j'ai la sensation que l'homme qui se tient face à moi est ma copie identique, que je ne parviendrais pas à trouver les différences si on me les demandait. Je me dis d'abord que ce n'est qu'une coïncidence et puis, une partie de mon esprit me rappelle que j'ai été trouvé dans une ruelle, que personne ne savait rien de ma famille biologique. Serais-ce possible qu'il en soit une partie ? Qu'il soit mon frère ? Je ne peux pas accepter ça. Je ne peux pas accepter qu'il fasse partit de ceux qui m'ont abandonné. Cela dit, il n'a pas l'air plus vieux que moi, peut-être même est-il plus jeune, je n'en sais rien, je ne saurais dire.

Est-ce possible ça ? Se promener, à 23 ans, dans les rues de Séoul, et tomber sur son frère perdu ? Non. Ce ne peut pas être la réalité. Ces choses-là n'arrive pas. Le bruit revient soudainement, assourdissant. Combien de temps suis-je resté immobile, abasourdi, à regarder ainsi la personne en face de moi ? J'ai l'impression que cela fait plusieurs heures et à peine quelques secondes en même temps. C'est désagréable, je ne suis pas habitué à tant d'agitation et mes nerfs sont mis à rudes épreuves. Lorsque je me sens sous pression, sans échappatoire, je sors mon arme. Cette fois, je sais que je ne dois pas le faire, alors au lieu de resserrer mes doigts sur la gâchette, je les serres sur mes sacs de shopping. Comment ai-je pu me retrouver dans une situation comme celle-ci et surtout, comment puis-je en échapper ?

J'ai envie de m'enfuir, de pousser toutes ces stupides femmes et de m'en aller le plus loin possible d'ici. J'ai envie de rester là aussi, de regarder cet autre moi et de ne plus jamais retirer mes yeux de sa personne. Qui est-il ? D'où vient-il ? J'ai envie de lui poser mille et une questions mais je ne suis même pas sûr d'avoir le droit de l'approcher. Si elles sont toutes ici, c'est pour lui. Si elles ont criés ainsi en me voyant, c'est parce qu'elles m'ont pris pour lui. Il doit être connu, une sorte d'idole ou quelque autre profession du show business. Je suis ici depuis trois ans, et je n'ai jamais entendu parler de lui ? Comment est-ce possible ? Suis-je donc si enfermé dans mon travail pour que je ne l'ai jamais vu sur une affiche ou un écran ? Je suis perdu et en même temps, je comprends désormais beaucoup de chose.

Ces personnes qui m'ont demandés un autographe, des photos, cette fille qui a hurlé en me voyant il y a quelques jours. Toutes ces choses étranges depuis mon arrivée en Corée du Sud, tout à un sens finalement. Tout vient de lui, cet être inconnu pourtant si semblable. Je voudrais lui parler, mais j'en suis incapable. Sous le choc, le coréen est très loin dans mon esprit. La foule se fait de plus en plus danse et je n'en peux plus de ses bruits d'appareils photos et de téléphones qui s'enchaînent, de ses cris, de toutes ces mains qui tentent de se poser sur mon corps. Que quelqu'un m'aide, que quelqu'un fasse quelque chose, n'importe quoi ! J'ai envie de hurler mais j'en suis incapable alors je me contente de lancer un regard de détresse à celui qui se tient en face de moi. Dans son regard je peux lire la surprise, l'incompréhension mais également une pointe de curiosité et de panique, est-ce pour lui, ou pour moi ? Jamais je n'avais su comprendre quelqu'un par son seul regard mais plus rien ne peux me surprendre. Je veux juste sortir d'ici, me retrouver au calme, loin d'elles, avec lui.
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©Kali'


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