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 You makes me mad, not no joke - | Woo Jin |

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Kwang Yuna
Les squelettes de son placard
S.T. ❝ j'ai la kekette qui colle
Kwang Yuna
tel un warrior j'ai débarqué le : 08/12/2013
tema la secla, j'ai tant de messages : 180
et j'ai déjà la blinde de k₩ : 3972 alors j'suis célèbre à ma façon: :
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Azi tu veux un rp ? je suis : Dispo ♥
j'ai même d'autres gl pour te plaire : DC ♠️ Jung Jae Won
et l'actuelle je la dois à : Sushie
en rp j'suis le sosie de : Kim Ji Won
On me connait en tant que : Yu Na, Yu
J'ai la vie d'vant moi, du haut d'mes : 20 ans
Mais j'en ai déjà vécu des choses : Fiche de présentation
mes journées sont bien remplies : Actrice à le devenir - Prostituée sans vraiment le vouloir
avis aux stalkeurs : ♠️ feat Yong Shin
♠️ feat Woo Jin
♠️ feat Tan
♠️ feat Seung Ho
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You makes me mad
"Attendre après toi, c'est comme attendre après la pluie durant cette sécheresse : inutile et désappointant."


Pour qui se prend-il ? M'envoyer un sms après m'avoir laissé un message vocal parce que je n'ai pas souhaité prendre son appel ? Et ne parlons même pas de ce qu'il m'a dit. Comment ne pas devenir folle avec un type pareil ? C'est impossible, car plus le je vois, plus je deviens incontrôlable, déjà que je ne le suis pas à la base, mais là c'est pire. Je ne réponds même pas à son sms parce que je sais qu'il va ce pointer quand même, même si je lui dis de ne pas venir. Il faut dire que ça ne me dérangerai pas qu'il vienne me retrouver, après tout ça fait plus de deux mois que je ne l'ai pas vu. Je ne peux pas accepter le fait que ce « cinglé » m'a manqué. Ce n'est même pas envisageable, ni même probable. Bon j'avoue tout son « être » m'a manqué, mais pas son satané caractère. A chaque fois je sais comment ça va se finir. On va se prendre la tête il va me menacer, je vais le provoquer, mais il ne me fera pas de mal et à ce moment-là, on se jettera dans les bras l'un de l'autre et ça finira au « lit » ou ailleurs qu'importe.


Où en étais-je ? Je dois prendre un bain oui absolument. Voilà où j'en suis. Je me rends dans la salle de bain sans plus tarder et je me lave de la tête aux pieds, ce qui me fait un bien fou. Je vais abstraction de cette nuit comme des autres, parce que c'est le mieux à faire pour ne pas avoir envie de rendre l'arme à gauche. Une fois fait, je me mets en pyjama pour être détendue, m'en fiche pas mal qu'il soit trop grand au moins je me sens à l'aise. Je traverse le couloir tout en m'attachant les cheveux puis je me dirige vers la cuisine. Je me sers un café que je viens de faire et je m'en sers une tasse sans plus tarder. Silencieuse et en paix avec moi-même pour le moment tout est calme. Je jette un oeil sur l'horloge et je me demande s'il va vraiment venir. Je secoue les épaules, je marche tout en buvant mon café et je m'installe dans le salon sur le canapé. J'allume la télé, je m'assois en tailleur puis, je regarde un film sans trop savoir ce que je suis en train de regarder et je bois mon café. Je zappe plusieurs fois, sans trouver un programme qui me plaise. Bon j'avoue que je ne tiens pas en place parce que je l'attends. Je tape mon dos plusieurs fois sur le dossier et je ferme les yeux pour penser à autres choses. Pourtant, c'est son image qui apparait. Bon j'avoue qu'il me hante et un peu trop souvent parfois. J'ouvre les paupières et j'observe le plafond en silence, respirant et j'essaie de me calmer, mais ce n'est pas facile. Puis soudainement, j'entends un bruit qui résonne dans l'appartement, curieuse par nature je me concentre sur le bruit sans pour autant bouger mes fesses de mon canapé.



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Shin Woo Jin
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You make me mad, and what ?


J'ignore combien de fois j'avais essayé de l'appeler, elle n'avait jamais répondu. Rien de plus désappointant pour moi, non seulement car je me sentais humilié, mais aussi car je l'appelais si rarement qu'entendre sa voix sur le répondeur m'avais mis d'une terrible bonne humeur. Et quand je dis terrible, c'est que j'étais capable des pires ignomies, et tout avec le sourire, rien que pour l'entendre crier dans le combiné. Mais rien à faire, elle n'a pas rappelé. J'ai donc laissé des messages vocaux odieux. Je n'en connais plus la teneur exacte, mais ça ne devait pas être du shakespeare. Elle n'a toujours pas rappelé. Vint alors la phase où la colère m'a rongé peu à peu, et je me rappelle bien l'avoir insulté par de nombreux sms. Cette femme est une diablesse, et je me plais à l'entraîner chaque fois plus dans les bas-fonds de l'enfer. Mais elle n'a toujours pas rappelé. Et c'est pour ça qu'encore une fois, c'est moi qui me suis déplacé en personne. Comme toujours, comme à chaque fois même. Je n'irais pas jusqu'à dire que je suis accro à cette fille-là, non seulement parce que c'était idiot et inconcevable, mais surtout parce qu'il était impossible que je me fasse prendre à mon propre jeu. Je jouais avec elle en effet, rien de plus, je la rendais dingue pour mieux m'échapper, je la faisais hurler peu importe la situation pour me complaire de la rendre folle, je la tenais en laisse par sa dépendance qu'elle n'avait pas pour mieux la voir souffrir de mon absence. Officiellement. Officieusement c'était autre chose, chacune de ses absences laissaient un trou béant appelé « ennui ». Je m'ennuyais de ma princesse-beuglante lorsqu'elle n'était pas là et je ne tenais jamais plus de deux mois sans la contacter. Et comme à chaque fois elle ne répondait pas, et je me déplaçais alors.

Je connaissais sa rue par cœur son immeuble sur le bout des doigts, son appartement comme ma poche (-et son corps sur le bout de la langue.), mes pas étaient rapides, feutrés. Ma coiffure impeccable comme à l’accoutumée, le menton haut par mépris pour le reste du monde, le regard droit et fier, je ne pris même pas le temps de sonner, frapper ou signaler ma présence. J'entrai, tout simplement. Qui se serait formalisé avec elle, et au vue de notre relation atypique ? Lorsque je passe la porte, je suis désagréablement surpris par le fait de ne pas la trouver devant moi, et d'entendre seulement les quelques mots d'un poste de télévision. Je ne dirais pas que je suis impatient au point de ne pouvoir attendre de me déplacer jusqu'à elle toutefois, et j'haussai les épaules, prêt à faire comme chez moi. Comme à chaque fois. Je me rendis alors à la cuisine et sortis du lait du frigo, saisis un bol et le paquet de céréales pour me faire un petit en-cas de minuit. Manque de bol, à peine allais-je ranger le paquet qu'il me glissait des mains, et le bruit alerta la non-ravissante habitante. Je laissai le paquet au sol (après tout je n'étais pas chez moi, ce n'était pas à moi de ranger) et allai me dégoter une cuillère pour grignoter, non surpris de la voir arriver dans son vieux pyjama trop grand. Elle non plus ne semblait pas surprise de me trouver là. Je soupirai et posai sur sa personne un regard las, non sans un certain mépris qu'elle connaissait bien, et avec une fierté sans borne. Je ne prenais aucune pincette avec elle, vraiment, et je ne cachais pas non plus qui j'étais. C'était ainsi, et elle me désirait pour ça. Je ne portais même plus de hauts à manches longues lorsque j'allais chez elle, et ce soir encore, un simple T-shirt révélant le début de mon tatouage de mafioso me servait de tenue.

Je pris le temps de mâcher pour l'embêter, avalai, et soupirai à nouveau, la jugeant d'un regard critique : « Tu savais que j'allais passer, t'aurais quand même pu mettre quelque chose de plus sexy. Ou du moins, de moins... pittoresque ? » C'est ça, c'était le mot juste. Et je secouai la tête pour retourner à mon bol de céréales comme si j'habitai en ces lieux depuis toujours, sans la moindre gêne, glissant toutefois quelques paroles à son attention entre deux cuillerées : « Pourquoi tu répondais pas ? Tu sais que je déteste quand tu ne réponds pas, ça me donne envie de te tuer. » Un ton lourd de reproches et pourtant si posé, et si froid qu'il ne trahissait que ma dangerosité. Je déteste qu'elle ignore mes appels.



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Le servir ? Lui? Plutôt rêver oui. Le jour où il se servira de moi les poules auront des dents. Une chose qui n'est pas prète de se présenter. Il n'a pas changé il est toujours en train de me rechercher et de me rabaisser, après tout j'en ai l'habitude, c'est un peu mon quotidien. Pourtant, quand ça vient de lui je suis d'avantage blessée émotionnelle et ça je pense qu'il doit le savoir et il en use. Je m'énerve encore plus et j'ai du mal à me contrôler quand il est dans les parages. « Dans tes rêves Woo Jin. Je ne te servirai jamais comme tu aimerais temps, t'a qu'à aller voir une autre fille pour ça, elle sera te combler à merveille ! T'attend quoi ? » - je le défis du regard, s'il pense que ça me blesse il se trompe. Je peux me passer de lui et de sa présence sans problème. Ce n'est pas parce qu'il m'arrive de penser à lui, qu'il orne mes journées et mes pensées en permanence. C'est faux. Je vis très bien sans lui et ça ne changera jamais. « Ça doit bien être rare alors ce genre de fille surtout dans le milieu où tu te fais un malin plaisir à te donner en spectacle. Pauvre type ! » - maintenant il se penche vers moi comme si c'était la chose la plus naturelle dans ce bas monde. . Je sens son souffle conte mon oreille et j'avoue que j'apprécie ses lèvres près de ma peau. La preuve je ne le repousse même pas, au contraire je colle mon dos conte son torse. C'est bien le seul mec qui me fait autant d'effet sans que j'y ressente le moindre dégoût. Par contre, après ce qu'il vient de dire il rompe ce moment que je pourrais classer de « plaisant ». Je soupire fortement puis, je le force à me lâcher aussitôt. « T'a toujours était d'un putain de romantisme toi ce n'est pas croyable. Va donc rejoindre ses chiennes alors je te retiens pas ! » - puis le mieux à faire c'était d'aller sur ce canapé pour ne plus l'avoir à proximité de moi.


Il a beau agir comme ça, mais quand il est avec moi il se plie à ce je lui demande. Et j'avoue que j'adore ça. Je ricane un peu quand je le vois se diriger vers la porte pour fermer la porte. Il n'y a vraiment rien à la télé, mais je regarde quand même. Il vient s'asseoir à côté de moi et quand il passe son bras autour de mes épaules, je ne bronche pas. Au contraire, je m'avance vers lui pour que nos corps se touchent, comme si c'était banal et un geste que nous faisions au quotidien. Après tout c'est lui qui me tire à lui ce n'est pas moi, je me contente de suivre parce que ça ne me déplais pas. Je grogne un peu, quand il pose ses lèvres sur ma nuque et qu'il me donne un baiser chaste. Mon bras se contente juste de se poser sur son épaule pour qu'il arrête ça, ensuite je me touche la nuque en soupirant. Moi j'étais chiante je lui lançais un regard amusé, mais qui veut tout dire. « Moi chiante ! Tu t'es vu dans un miroir récemment ? » - je le cherche un peu parce que je ne supporte pas recevoir des réflexions comme ça, surtout quand il est tard. « Franchement qui ne se plaint pas sur cette putain de terre, je ne vois pas pourquoi je serai une exception. » - je soupire de lassitude et je pose ma tasse vide sur la table, je le laisse poursuivre. Et voilà j'ai encore droit aux mécontentements de « monsieur ». - « Si t'es pas content tu sais très bien que je m'en fiche complètement. Je ne vois pas pourquoi je serai « sexy »en étant chez moi. Sérieux quand je rentre chez moi j'ai autres choses à penser qu'à ça. Alors ferme là et tu t'en contenteras c'est tout. » - je tape sur son épaule quand il me prend la télécommande, je me mets à mon aise tout de même et je le laisse zapper. Il s'attendait à quoi à ce qu'un superbe programme apparaisse ? Je ricane et je me retiens de rire sur le coup.


Qu'est-ce qu'il fait là ? Il ose prendre son aise sur mon canapé et il envahit même mon espace. Il me tire à plusieurs reprises vers moi et je tente de m'en dégager, je ne supporte pas qu'on me force à faire un truc que je n'ai pas envie de faire. « Lâche moi veux-tu ! Tu m'énerves bon sang ... » - normalement ça ne se passe pas comme ça. D'habitude on ne cesse de se prendre la tête, de s'insulter de tous les noms avant de finir par se retrouver comme ça. Pourtant je le laisse me tirer vers lui et je m'allonge sur son corps, sans pour autant lui montrer la moindre émotion. Je m'allonge sur le côté pour être plus à l'aise et j'avoue que je laisse un de mes bras autour de sa taille, quand il passe le sien autour de mon dos. C'est un réflexe automatique et j'avoue qu'être près de cet homme me plaît dans le fond. Je fronce les sourcils puis, je lui donne un coup de pied dans le tibia parce que je n'aime pas sa façon de me rabaisser. Surtout quand ça concerne mon rêve le plus précieux. « Je t'interdis de me parler comme ça. . Si c'est pour me faire des reproches tu peux dégager Woo Jin. Tu voudrais que je fasse les trottoirs tout le long de ma putain d'existences ? Avoue-le ! Moi au moins je fais ce que je peux pour me barrer de ce milieu ! Si tu ne peux pas le comprendre alors c'est que t'es vraiment un con ! » - je me redresse et je prends la tasse dans ma main pour aller me chercher un autre café. Avant de me lever je pousse ses jambes hors du canapé brusquement et je regarde d'un ton menaçant. Je me dirige vers la cuisine après lui avoir dit : « Dégage maintenant ! J'ai assez vu ton visage pour ce soir. Reviens dans deux mois non voir trois ou quatre mois. Où ne reviens plus du tout ce qui serait encore mieux ! » - je fais genre de compter sur mes doigts et je lui lance un regard dénuait de la moindre émotion. Il n'est plus question d'affection et de prendre son pied quand il s'agit de me froisser avec ma carrière d'actrice. Tout en étant dos à lui je lui dis sur un ton cru - « Je préfère encore que tu me traite de « chienne » comme tu le dis si bien, après tout je "baise" avec plusieurs types dans une soirée. Même si ça m'énerve, mais au moins ça me toucherai pas autant. T'es vraiment un salop ! » - je vais ensuite dans la cuisine et j'entends le bruit de fond qui provient de la télévision. Je ne dis plus rien et je me sers un autre café et je dirige vers le placard pour prendre du sucre.


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Dernière édition par Kwang Yuna le Dim 29 Déc - 16:33, édité 2 fois
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You make me mad, and what ?


Quand je dis que cette femme est barge, je ne suis même pas encore sûr que le mot soit assez fort. Vraiment, si son corps n'était pas si splendide et désirable, ça ferait longtemps que j'aurais foutu le camp et levé les voiles. Insupportable. Elle était insupportable, et j'étais machiavéliquement enchaîné à elle de la plus odieuse des façons. Stupide destin l'ayant mis sur ma route un soir alors qu'elle était si peu habillée. Bien évidemment que je sais que ça l'insupporte, sinon je ne prendrais pas autant de plaisir à la traîner plus bas que terre par un simple ton affichant ma supériorité bien existante et un regard déshabillant. Debout, je repose le bol sur la table et vais même jusqu'à pencher la tête discrètement pour suivre le mouvement de ses fesses et de sa poitrine lorsqu'elle frotte le sol telle seule une femme sait et devrait le faire. Lorsqu'elle se redresse et se permet de me critiquer d'un regard cinglant, je serre les dents. Je n'aime pas lorsqu'elle fait cette tête, généralement j'en ai pour des heures et des heures de sermons. J'hausse donc les épaules et reprends mon bol pour finir mes céréales, accordant le moins d'importance possible à la jeune actrice (très mauvaise actrice soit dit en passant. Ah, comme si je ne lui avais pas manqué ! Elle veut me le faire croire avec cette tête ?).

Trois.. Deux.. Un..Et blablablabla. Je posai mon coude sur la table et tirai la chaise jusqu'à moi pour m'asseoir, n'écoutant qu'à moitié son flot de paroles incessantes. Le pire dans tout ça, c'est que c'était à la limite de si elle ne parlait pas toute seule. Elle ne me laissait pas le temps d'en placer une, et de toutes les manières, je ne désirais pas lui répondre. La cuillère plongeant avec appétit dans les céréales avant que je ne les engouffre tel mon premier repas depuis trois jours (et c'était presque le cas, ça faisait deux jours que je n'avais rien avalé. Hormis la tortilla de mes voisins, la pizza chez cette fille dont je ne me souviens même plus du nom, ..), je relevai tout juste les yeux vers elle lorsqu'elle critiqua ma manière de manger. Vraiment, elle manque tant d'imagination, ou alors elle a épuisé tous ses stocks en ces deux minutes ?  « J'ai faim okay ? Alors tu fermes ta gueule et tu me laisses manger, y'en a qui bossent toute la journée pendant que d'autres n'ont qu'à parler pour prétendre travailler. » Je faisais référence à son métier d'actrice, et j'aurais encore pu me montrer blessant en soulignant ses activités forcées, mais je ne voulais pas réellement qu'elle me foute à la porte. C'était un petit jeu de routine, rien d'autre, le but n'était pas de planter un pieux en plein dans son cœur.

Je la laisse repartir et finis mon petit repas, prenant tout de même grand soin d'en mettre volontairement un peu partout et de laisser mes affaires traîner. Ce ne serait pas drôle sinon. Elle ne cesse de parler encore une fois et je me déplace jusque derrière le canapé en réprimant un soupire blasé. « Je parie que si j'étais parti tu ne t'en serais même pas rendu compte. Tu parles souvent toute seule et.. autant ? » Un nouveau sourire naquit au coin de mes lèvres avec suffisance, et je relevai le menton avec fierté, lui rappelant à quel point j'étais mieux en tous points par ce simple geste.  « Je te prends pour qui ? Aigh.. Soyons sincère, pour une femme. C'est ton rôle de me servir non ? » Je sais qu'elle déteste tellement que je la rabaisse, que je m'en fais un véritable plaisir. Elle est une des femmes que je vois le moins s'abaisser face aux hommes, et c'est pourquoi je ne tolère pas qu'elle le fasse le reste du temps bien qu'elle y soit forcée. Après tout, ce n'est pas qu'une diablesse, c'est mon envoyée du diable à moi, et j'ai un certain droit de propriété dessus.  « En effet, j'ai horreur des femmes qui courbent pas l'échine quand je passe. Celles-là, je prends un malin plaisir à leur rappeler leur rôle. » Je me penche en avant de façon à susurrer quelques paroles lourdes de sens au creux de l'oreille de Yuna, amusé, ne manquant pas de taquiner son cartilage du bout des dents dans un même temps :  « En les faisant crier comme des chiennes par exemple. » Si emprunt de poétisme et de romantisme, d'amour pour la gente féminine.

Je me redresse ensuite pour éviter d'avoir les tympans percés lorsqu'elle se met à vociférer et me masse la nuque du bout des ongles, agacé. Ceci dit, je me permis de ricaner discrètement : c'était une façon à elle de m'inviter à rester quoiqu'elle en dise. Je la laisse alors s'installer et me décide à lui obéir pour repartir vers l'entrée saisir les clés et fermer la porte, après quoi je m'en retournai vers le canapé pour cette fois-ci m'installer à côté d'elle. Par automatisme, mon bras vint passer par dessus ses épaules et je la rapprochai de moi, déposant mes lèvres dans son cou pour un baiser habituel, dénué de sentiments.  « Tu sais que t'es vraiment chiante ? Non seulement tu passes ton temps à parler pour te plaindre, mais en plus t'es même pas capable de compenser ça par une véritable beauté physique. Sans parler de tes fringues à pleurer. » Trouvais-je le moyen de lui sortir avec tout le sérieux du monde en portant sur sa personne un regard méprisable, avant de lui chiper la télécommande pour choisir moi-même le programme. De nous deux, c'était bel et bien moi le plus insupportable, mais je me faisais un plaisir à déporter mon cas sur elle.

Je zappai négligemment, sans être attiré par le moindre programme. En même temps, à cette heure-là c'était pour la plupart des fins de films ou de vieux documentaires, voire avec de la chance des séries en noir et blanc ou des zap. Je soupirai de frustration et m'installai totalement, la tirant par deux trois manipulations, de façon à me retrouver allongé sur le dos de tout mon long sur le canapé et recevoir le corps de la femme sur le mien. La tête tourné vers la télévision, l'une de mes mains posée dans le creux de son dos, j'avouais être particulièrement crevé pour faire les étapes dans l'ordre. En règle générale on s'engueule, on se frite, on se balance les pires ignominies à la face, et ensuite on termine dans cette position. C'est pas grave, ce n'est pas le fait de me retrouver ainsi qui me fera mâcher mes mots et m'empêchera d'être insupportable.  « Alors, t'as toujours pas amélioré ton jeu en deux mois ? Parce que la dernière fois que j'ai eu un aperçu, c'était totalement médiocre et pitoyable. Je suis même pas étonné que t'arrives pas à te faire remarquer » Je savais que ça comptait pour elle de se sortir de ce milieu triste et morne pour briller sous les projecteurs, et c'est pourquoi je l'attaquais sur le sujet pour ronger ses espoirs tel de l'acide. Puis je fermai les yeux, désintéressé par le poste de télévision.



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Le servir ? Lui? Plutôt rêver oui. Le jour où il se servira de moi les poules auront des dents. Une chose qui n'est pas prète de se présenter. Il n'a pas changé il est toujours en train de me rechercher et de me rabaisser, après tout j'en ai l'habitude, c'est un peu mon quotidien. Pourtant, quand ça vient de lui je suis d'avantage blessée émotionnelle et ça je pense qu'il doit le savoir et il en use. Je m'énerve encore plus et j'ai du mal à me contrôler quand il est dans les parages. « Dans tes rêves Woo Jin. Je ne te servirai jamais comme tu aimerais temps, t'a qu'à aller voir une autre fille pour ça, elle sera te combler à merveille ! T'attend quoi ? » - je le défis du regard, s'il pense que ça me blesse il se trompe. Je peux me passer de lui et de sa présence sans problème. Ce n'est pas parce qu'il m'arrive de penser à lui, qu'il orne mes journées et mes pensées en permanence. C'est faux. Je vis très bien sans lui et ça ne changera jamais. « Ça doit bien être rare alors ce genre de fille surtout dans le milieu où tu te fais un malin plaisir à te donner en spectacle. Pauvre type ! » - maintenant il se penche vers moi comme si c'était la chose la plus naturelle dans ce bas monde. . Je sens son souffle conte mon oreille et j'avoue que j'apprécie ses lèvres près de ma peau. La preuve je ne le repousse même pas, au contraire je colle mon dos conte son torse. C'est bien le seul mec qui me fait autant d'effet sans que j'y ressente le moindre dégoût. Par contre, après ce qu'il vient de dire il rompe ce moment que je pourrais classer de « plaisant ». Je soupire fortement puis, je le force à me lâcher aussitôt. « T'a toujours était d'un putain de romantisme toi ce n'est pas croyable. Va donc rejoindre ses chiennes alors je te retiens pas ! » - puis le mieux à faire c'était d'aller sur ce canapé pour ne plus l'avoir à proximité de moi.


Il a beau agir comme ça, mais quand il est avec moi il se plie à ce je lui demande. Et j'avoue que j'adore ça. Je ricane un peu quand je le vois se diriger vers la porte pour fermer la porte. Il n'y a vraiment rien à la télé, mais je regarde quand même. Il vient s'asseoir à côté de moi et quand il passe son bras autour de mes épaules, je ne bronche pas. Au contraire, je m'avance vers lui pour que nos corps se touchent, comme si c'était banal et un geste que nous faisions au quotidien. Après tout c'est lui qui me tire à lui ce n'est pas moi, je me contente de suivre parce que ça ne me déplais pas. Je grogne un peu, quand il pose ses lèvres sur ma nuque et qu'il me donne un baiser chaste. Mon bras se contente juste de se poser sur son épaule pour qu'il arrête ça, ensuite je me touche la nuque en soupirant. Moi j'étais chiante je lui lançais un regard amusé, mais qui veut tout dire. « Moi chiante ! Tu t'es vu dans un miroir récemment ? » - je le cherche un peu parce que je ne supporte pas recevoir des réflexions comme ça, surtout quand il est tard. « Franchement qui ne se plaint pas sur cette putain de terre, je ne vois pas pourquoi je serai une exception. » - je soupire de lassitude et je pose ma tasse vide sur la table, je le laisse poursuivre. Et voilà j'ai encore droit aux mécontentements de « monsieur ». - « Si t'es pas content tu sais très bien que je m'en fiche complètement. Je ne vois pas pourquoi je serai « sexy »en étant chez moi. Sérieux quand je rentre chez moi j'ai autres choses à penser qu'à ça. Alors ferme là et tu t'en contenteras c'est tout. » - je tape sur son épaule quand il me prend la télécommande, je me mets à mon aise tout de même et je le laisse zapper. Il s'attendait à quoi à ce qu'un superbe programme apparaisse ? Je ricane et je me retiens de rire sur le coup.


Qu'est-ce qu'il fait là ? Il ose prendre son aise sur mon canapé et il envahit même mon espace. Il me tire à plusieurs reprises vers moi et je tente de m'en dégager, je ne supporte pas qu'on me force à faire un truc que je n'ai pas envie de faire. « Lâche moi veux-tu ! Tu m'énerves bon sang ... » - normalement ça ne se passe pas comme ça. D'habitude on ne cesse de se prendre la tête, de s'insulter de tous les noms avant de finir par se retrouver comme ça. Pourtant je le laisse me tirer vers lui et je m'allonge sur son corps, sans pour autant lui montrer la moindre émotion. Je m'allonge sur le côté pour être plus à l'aise et j'avoue que je laisse un de mes bras autour de sa taille, quand il passe le sien autour de mon dos. C'est un réflexe automatique et j'avoue qu'être près de cet homme me plaît dans le fond. Je fronce les sourcils puis, je lui donne un coup de pied dans le tibia parce que je n'aime pas sa façon de me rabaisser. Surtout quand ça concerne mon rêve le plus précieux. « Je t'interdis de me parler comme ça. . Si c'est pour me faire des reproches tu peux dégager Woo Jin. Tu voudrais que je fasse les trottoirs tout le long de ma putain d'existences ? Avoue-le ! Moi au moins je fais ce que je peux pour me barrer de ce milieu ! Si tu ne peux pas le comprendre alors c'est que t'es vraiment un con ! » - je me redresse et je prends la tasse dans ma main pour aller me chercher un autre café. Avant de me lever je pousse ses jambes hors du canapé brusquement et je regarde d'un ton menaçant. Je me dirige vers la cuisine après lui avoir dit : « Dégage maintenant ! J'ai assez vu ton visage pour ce soir. Reviens dans deux mois non voir trois ou quatre mois. Où ne reviens plus du tout ce qui serait encore mieux ! » - je fais genre de compter sur mes doigts et je lui lance un regard dénuait de la moindre émotion. Il n'est plus question d'affection et de prendre son pied quand il s'agit de me froisser avec ma carrière d'actrice. Tout en étant dos à lui je lui dis sur un ton cru - « Je préfère encore que tu me traite de « chienne » comme tu le dis si bien, après tout je "baise" avec plusieurs types dans une soirée. Même si ça m'énerve, mais au moins ça me toucherai pas autant. T'es vraiment un salop ! » - je vais ensuite dans la cuisine et j'entends le bruit de fond qui provient de la télévision. Je ne dis plus rien et je me sers un autre café et je dirige vers le placard pour prendre du sucre.


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Shin Woo Jin
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On me connait en tant que : Shin Valentin, le nom qu'on m'aurait donné si l'ancêtre n'avait pas tapé un scandale sous prétexte que c'était pas coréen. Faut s'mettre au goût du jour le vieux. Sinon c'est Woo Jin, simplement.
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You make me mad, and what ?


J'entrouvre les lèvres au moment où elle soupire et vrille mon regard glacé d'ours ronchon dans le sien. Je déteste qu'elle me hurle dessus alors qu'elle ne tente techniquement pas de se débattre et qu'elle se laisse manipuler comme une poupée de chiffon. Et autant que j'hais ça, j'apprécie. C'est un étrange cocktail Molotov dont elle est l'explosif, une chose qu'on sait haïr par son additivité. Mes mains se font plus fermes et se raidissent sur la cambrure de ses reins pour l'empêcher de partir, feignant croire à son jeu. Je lisais pourtant clair comme de l'eau de roche en ces deux yeux orageux. A vrai dire, je savais réellement qu'elle voulait bouger pour ne pas se soumettre à mon autorité, mais ma force était si supérieure à la sienne que j'allai jusqu'à me permettre de jouer avec ce fait.  « Aaaah mais même à minuit t'arrives à crier pour autre chose que ma teub. Putain mais ferme-là et apprécie bordel. » Je soupirai une nouvelle fois, blasé, et enfouis mon visage dans mon bras en secouant la tête. J'étais debout depuis trois heures du matin, et elle trouvait le moyen de me prendre la tête l'un des rares soirs où je ne le voulais pas. J'avais bien compris qu'elle était étonnée par mon manque de réactivité et mon besoin de calme, d'instaurer une certaine paix avant l'heure, d'anticiper le repos du guerrier avant la tempête. Néanmoins elle ne se défait pas totalement de mon emprise et lorsqu'elle se pose devant moi, sur le côté, mon bras autour de son corps, je glisse discrètement ma main sous son haut de pyjama pour effleurer distraitement son ventre sans y porter de réelle attention, par l'automatisme que nous avions conçu ensemble.

Toutefois, même lorsque c'est mon humble personne qui la réclame silencieusement, la trêve entre nous ne sait durer. Je lance une pique, elle réplique par un coup dans le tibia qui me fait grogner de déplaisir et l'effet boule de neige fait son rôle, envenimant peu à peu nos regards et nos esprits. Elle se défend bien, mais avec trop de conviction personnelle et sans tacher de m'attaquer en retour, ce qui est étonnamment inhabituel et qui me fait froncer les sourcils sous la surprise, révélant un petit plis sur l'arrête de mon nez. Une partie de moi jubilait de savoir que je la traitais de chienne à juste titre et que je pouvais en jouer, qu'elle était sans cesse forcée de courber l'échine pour les gens comme moi. Quelque chose était ravi, et conforté dans son ego de savoir que mes camarades rappelaient à l'ordre ceux qui sortaient du droit chemin, Yuna dans ce cas. Mais quelque chose de plus intime et de plus profond se révélait extrêmement jaloux de ne posséder l'exclusivité, de savoir que lorsque je passai sur son corps, c'était toujours le dernier de la soirée, et non le premier, que je n'étais qu'à de plus à son compte. A dire vrai, et je le savais, la différence entre ces obsédés et moi, c'est que moi, je ne payais pas. Et la colère me rongeait chaque fois que la jalousie m'empoignait les tripes, comme pour la punir de me forcer à ressentir de si violentes émotions.  « Bah au moins, estime-toi heureuse de faire quelque chose qui rapporte.. Et en plus que tu fais plutôt bien, hein ? Et qu'est-ce que tu feras qu'en t'en seras sortie ? Tu sais rien faire d'autre que baiser. » C'était toujours blessant, verbalement meurtrier et meurtrie, elle l'était, cela se voyait dans son regard, dans ses gestes tremblants lorsqu'elle empoignait sa tasse avec maladresse et colère. Et une fois encore je me maudis de n'avoir su la fermer, ou plutôt, de ne le vouloir.

 « Parfait écoute. Je me barre, je reviens plus, je reviendrais pas. Après tout, des putes, je peux en trouver partout, avec ma gueule je suis même pas sûr d'avoir besoin de payer. » J'avais perçu l'admiration secrète qu'elle portait pour mon corps la première fois qu'elle m'avait vu dans mon plus simple appareil, cette satisfaction qui l'avait discrètement fait ronronner de plaisir. Pourtant il était rare que j'en joue, et je n'avais jamais fais la remarque, préférant passer pour le narcissique de service que lui apprendre que c'était elle qui m'avait regonflé d'estime. Son regard froid ne me fait aucun effet, moi aussi je sais faire le méchant. Par ailleurs, je me relève alors qu'elle m'observe de sa cuisine et époussette mes vêtements de quelques gestes amples toutefois précis. J'attrape mes clés que j'avais négligemment posée sur la table de devant (il serait con, une fois arrivé devant mon appart, de devoir revenir) et ignore ses derniers mots pour ne pas lui montrer que la répartie me manquait alors. Je me dirigeai vers la porte, la déverrouillai avec empressement, et reparti en la claquant fermement après avoir balancé le trousseau au sol.

Une fois dehors, je soufflai longuement. Je ne savais pas vraiment ce qu'il fallait que je fasse : j'étais parti sur un coup de tête, et pour lui montrer que je n'allais pas la supplier pour rester. Ceci dit, ce n'était pas la première fois qu'elle me mettait à la porte ou que je foutais le camp en menaçant de ne jamais revenir. Comme un couple. Là où ça bloquait, c'est que justement nous n'en étions pas un, et je n'arrivai à mettre de mot sur notre relation malsaine. Qu'importe, je préférais les actes aux mots. La vraie question était : comment allais-je revenir ? J'avais prévu de passer la soirée avec elle et de dormir là bas comme nous le faisions parfois, exténué, et non pas d'être assis comme à l'instant sur le capot de ma Laguna Berline noire pour tirer sur une clope faite à l'arrache. Le doigt ne cessant de taquiner la roulette de mon briquet, je pris alors la faible résolution d'attendre, attendre le moment où je pourrais revenir sans planquer la queue entre les pattes. Je m'installai donc devant le volant et démarrai sans attendre, prêt à tourner et retourner dans les quartiers alentours.

Aux alentours de deux heures, après avoir grignoté des frites et bu un coca au mcdrive, je revins me garer sur le parking de son immeuble et remontai en silence. Je crochetai rapidement la serrure tel qu'on m'avait appris à le faire (j'avais peur que si elle dormait, défoncer la porte la réveillerait et la foutrait en rogne) et rentrai pour la seconde fois, peu fier cependant. Puisqu'aucun bruit n'alimentait alors l'espace, je retirai mes chaussures et rejoignis la cuisine pour me servir un verre d'eau avant de me glisser jusqu'à sa chambre. J'ouvris la porte le plus discrètement possible et la trouvai allongée. J'ignorai si elle dormait ou non mais dans le doute, je tentai de faire le moins de bruit et me faufilai sous les draps, à ses côtés, enlaçant son corps de mes bras frais, un baiser déposé sur son épaule. J'étais venu pour dormir là ce soir, et rien ne changerait mon programme. Nous nous étions juste moins engueulé que prévu, moins violemment aussi il fallait le dire, mais je mettais ça sur le compte de la fatigue. En revanche, pour ma libido insatisfaite, je comptai rattraper ça et tentai de la réveiller en grignotant sa nuque de baisers rapides mais lourds de signification. « Tu dors ? »



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Je ne dis rien. Je ne voulais plus lui parler et quand j'avais décidé que je ne lui adresserai plus la parole, ce n'était jamais des paroles en l'air. Je n'étais pas une fille facile à vivre et je le reconnaissais, mais je n'essayais pas de changer pour autant. On me prenait comme j'étais, sinon rien. J'entends la porte claquée et je soupire fortement. Il était enfin parti j'allais pouvoir respirer un peu et faire un peu de rangement. Je ne supporte pas le désordre et ça m'irrite plus qu'autre chose. Je me hâte donc à la tâche sans plus tarder. Je fais la vaisselle et je nettoie la table de la salle à manger. Je ramasse quelques papiers qui traînaient ici et là et je l'ai jette à la poubelle. Je me lavais une deuxième fois les mains, ce soir. Je regarde l'horloge et il se fait tard. Je commence à sentir le poids de la fatigue accumulée de cette journée, sur mes épaules. C'est toujours la même chose quand je rentre chez moi je suis toujours épuisée et puis mon corps m'élance. Mes muscles sont contractés et j'ai des douleurs musculaires qui commencent à s'éveiller. J'ai beau encaisser et ne pas montrer que j'ai mal quand "je bosse". Le soir, je ne peux plus les contenir ni même les maîtriser, après tout je suis seule chez moi et je peux donc me permettre de révèle mes faiblesses et mes douleurs sans que des regards n'en soient témoins. Je ne veux pas montrer aux autres cette image de moi. Je ne le supporterai pas. Je ne veux pas lire de la pitié dans le regard des autres, c'est déjà bien assez pénible pour n'en rajouter une couche. Je me sers un verre d'eau et je prends un doliprane. Je pose le verre dans l'évier ensuite puis, je commence à bailler. Je commence à trainer des pieds et je me dirige pourtant vers le couloir où se situe l'entrée et je vois les clés par terre. Je soupire fortement puis, je me mors la lèvre inférieure. Woo Jin est vraiment parti, je devrais me sentir satisfaite pleinement, mais ce n'est pas le cas. Je me surprends à penser à lui et à vouloir qu'il reparaisse devant moi. Pourtant, je ne l'appellerai pas et je ne le supplierai pas de revenir, plutôt mourir. Je remets les clés en place puis, je me dirige vers ma chambre sans plus tarder, baillant à nouveau et j'entre dans la pièce. Je défais les couvertures négligemment et je me glisse avec lenteur et difficulté dans la chaleur de mes draps. Je me couvre ensuite, je n'ai pas fermé la porte pour autant, je l'ai laissé légèrement entrouverte on ne sait jamais. Je me sens plus en sécurité quand je ne la ferme pas entièrement, ne chercher pas à comprendre. Chaque humain à ses propres réactions qui ne seraient pas capable de vous expliquer.


Je commence à partir dans les rêves de morphées, mais j'entends comme une porte qui s'ouvre sans pour autant m'en inquiéter. Je garde quand même mes paupières closes, me mettant en boule comme pour mieux m'emmitoufler dans mes draps qui me recouvrent presque entièrement. Ca s'éveille dans la cuisine. Je sais maintenant que c'est lui, car il n'y a que lui qui rentre chez moi comme ça par surprise et qui décide ensuite de faire à nouveau « comme chez lui ». Je souris un peu parce que m'a fois je suis quand même « heureuse » qu'il soit de retour. Heureuse est un bien grand mot mais bon passons. La porte de ma chambre s'ouvrit un peu plus, j'ai dus bouger un peu dans mon lit par hasard. Je sens le matelas se penchait un peu plus. Il est allongé sur le lit près de moi. Je soupire un peu quand il pose un baiser sur mon épaule. Je frisonne légèrement quand sa peau froide entre en contact avec mon corps. J'ai dû me contracter un peu, mais je ne m'éloigne pas pour autant. Je décide de me tourner pour être face à lui, gardant les yeux fermé et je lui réponds. - « Non. » - je renifle un peu j'ai dû me choper un coup de froid cette nuit. Je passe mon bras autour de sa taille puis j'ouvre les yeux et je le fixe avec un brin d'humour « T'a pas trouver une pute pour ce soir ? Pourtant, elle court les rues en ces heures aussi tardives ! Où alors t'a fais ça vite fait bien fait ? » - je ne suis pas vraiment en colère et le son de ma voix montre bien que je ne dis pas ça pour être méchante avec lui. Je veux juste l'embêter un peu. Je niche mon visage près de sa clavicule, je sens l'odeur de son parfum et j'avoue que ça me plaît. L'odeur qui se dégage de lui m'a toujours rassurée en quelque sorte, tout comme elle pouvait éveiller un tant soit peu mon « affection» pour lui. Je prends même la peine de remonter la couverture sur lui, je pose mon bras sur son torse. Je murmure tout bas, sans pour autant lui parler méchamment, ma voix reste neutre ce qui peut être « perturbant ». « Pourquoi t'es revenu je te manquais déjà ou quoi ? Tu veux rester dormir ici cette nuit ? » - un sourire se courbe sur mes lèvres, sans pour autant savoir s'il est sincère ou non. Quand il s'agit de sourire les gens ne savent jamais comment l'interpréter et il n'était pas une exception, face à cette « généralité ».  Je me sers juste un peu plus contre lui parce que je tiens bien à en profiter quand même. Et puis c'est bien le seul type qui me plait et avec qui je peux avoir envie de lui transmettre un contact, sans m'y sentir forcer ou écœuré. Le seul ou alors c'est ce que je me résigne à penser parce qu'avec l'autre ce n'est même pas envisageable. J'ouvre les yeux puis, je grimace un peu. « Je croyais que tu n'avais plus l'intention de revenir. On était d'accord que tu ne reviennes plus non ? » - je suis sérieuse et pourtant ma main glisse sur sa joue puis dans ses cheveux. Un geste sans doute trop « doux » mais, je m'en fiche, après tout j'agis comme j'en ai envie et surtout quand je le peux et là c'est le cas il n'y a jamais d'interdiction avec lui et j'avoue que c'est ce que j'apprécie dans notre « relation » enfin façon de parler.


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J'avais été déterminé pour aller la voir, passer un peu de « bon-temps » dans tous les sens du terme avec elle. L'expérience du métier faisait d'elle un plan cul exceptionnel, et sans vouloir en faire l'éloge, la seule avec qui je suis capable de baiser toute la nuit malgré ma fatigue, entretenu simplement par le désir et l'envie. Et en deux mois, le manque s'était fait sentir dans mes relations avec les autres femmes : le manque morbide qui m'avait pris aux tripes passé le premier mois m'avait rappelé qu'il n'y avait qu'elle pour rassasier entièrement ce corps. Pour en arriver à s'ennuyer au lit, il me fallait être sérieusement atteint. J'étais addicte. Non pas à sa personne, dont je pourrais aisément me passer, mais à ce corps aux épaules finement dessinées que je retraçai de baisers, à ses lèvres lorsqu'elles m'enserraient et me faisaient soupirer, lorsqu'elles embrassaient, embrasaient, ma peau. A son parfum à la senteur discrète et subtile qui me rappelait qu'elle n'était qu'une femme comme les autres, une moins que rien qui tendait les bras vers le sommet de l'échelle sociale sans réussir à en saisir le premier barreau, et pourtant délicatement corsé, allant de paire avec sa volonté et son désir de survivre. J'étais aussi secrètement désireux de ses joues aux pommettes à peine perceptibles, de son teint et, dans une globalité certaine, son aura. Cette femme-là sait me rendre fou et m'enflammer aussi facilement qu'une allumette par sa simple présence. Et je la déteste pour cela. Mais le « bon-temps » comprend aussi nos engueulades, qui me tenaient à coeur comme un moyen de décompression, un anti-stress certain, un coup de boost. Voilà la raison que nous conservions intimement cachée pour laquelle nous ne tenions jamais plus de deux mois sans envoyer un signe à l'autre, souvent sous forme agressive ou nuisible. Parce que nous étions incapable de s'envisager sans l'autre. Trop différents pour s'ennuyer et se lasser, trop semblables pour s'entendre et se supporter.

Oh oui, j'avais eu dans l'optique de prendre réellement du « bon-temps » malgré ma fatigue, parce qu'elle aurait su me réveiller, mais mon corps, ou bien simplement ma pensée, n'avaient plus suivi le mouvement et s'étaient autorisé une prise d'indépendance non-désirée. Tout d'abord je n'avais pas autant crié que d'habitude, à dire vrai c'est à peine si j'avais haussé la voix, refroidissant son désir de routine. J'avais ensuite donné de grands coups de marteau sur les cordes sensibles, réduisant à néant notre capacité à converser. Le tout en brûlant les étapes, profitant déjà de l'étreinte de son corps. Un trop plein de changements qui n'avaient sans doute pas plu, étant donné qu'elle m'avait intimé de sortir et que je m'étais foutu à la porte tout seul. Ma volonté avait été telle, et mes pas m'avaient conduit dehors sans que je ne comprenne et ne réalise que j'étais dans le froid avec une fierté mal placée qui m'empêchait de rentrer aussitôt chez elle. Trop désireux de profiter de sa présence pour rentrer à la maison, trop fier pour y retourner. Alors j'avais attendu, simplement, pour trouver un juste milieu et suivre mes désirs une fois celui-ci pointé du doigt.

Une fois collé contre elle, je pousse un soupire discret de contentement, son corps réchauffé frottant ma peau glacée par la morsure de la nuit quand bien même je ne l'avais ressentie. Elle se rétracte et se contracte, et moi j'insiste davantage sur mes baisers, tachant d'éveiller en elle le besoin de rester les yeux ouverts, et de me fixer comme si j'étais une chose importante à ses yeux (et je l'étais, j'en étais certain, bien que ce ne soit réciproque. Il fallait que ce le soit). Elle se tourne ensuite et je resserrai mon étreinte pour, non pas la réchauffer davantage, mais me réchauffer moi, égoïste. Je ne cessai de redécouvrir sa peau du bout des lèvres, remontant parfois jusque sous son oreille, puis fronçai les sourcils, permettant au sourire narquois de naître sur mon visage pour étirer mes lèvres avec mépris : « Mais que veux-tu, je n'ai pas besoin de chercher, je l'ai déjà ma pute. » Cependant le timbre de ma voix  inspirait à la plaisanterie, tout comme elle, et je déposai cette fois un unique baiser sur sa joue avec affection comme l'on chercherait à faire pour se faire pardonner d'une mauvaise blague. Mais il y avait pourtant du vrai dans chacun de mes mots : elle était une prostituée, et elle était mienne, du moins pour ce soir. Et pour bien d'autres soirs.

Le son de sa voix ne portait aucune animosité et je me risquai à songer que l'épisode de tantôt était oublié, avec soulagement, car je ne me voyais pas me faire refuser son corps pour une broutille. Elle me couvrit et je ricanai pour masquer mon propre étonnement face à cette preuve d'affection explicite. Ma peau frémit tout d'abord du contact de la sienne, puis d'agacement en la sachant soudainement si peu compréhensible, instable. Malgré tout je décide de répondre en toute franchise cette fois, du moins, lorsque l'on sait lire les mots avec les syllabes dans le désordre :  « Pourquoi veux-tu me manquer ?  Ah.. Elle se pense importante la dame Kwang, c'est ça ? Douze. Douze en deux mois, ça te donne une idée de combien tu me manques ? » En effet, un petit nombre était passé sur la table ces deux mois, mais ne devais-je compter que celles pour qui le désir avait été assez fort pour que j'arrive à les déshabiller sans me sentir écœuré ? Cela réduirait de beaucoup la donne. Et envers et contre tout elle revient. Sans doute parce qu'elle savait que ce n'était que des paroles inversées : c'est ainsi qu'on fonctionnait. On se criait qu'on s'aimait par pur anti-phrase et lorsque nous étions plus attirés que jamais nous nous haïssions. Elle savait ce qu'il en était puisque ce n'était pas la première fois. Toutefois, sa main dans mes cheveux et sur ma peau me fait soupirer une fois de plus et je ne bronche pas face à son geste surprenant. Je n'aime pas qu'elle me cajole ainsi, qu'elle agisse avec moi comme si nous étions un couple, car nous ne l'étions pas, mais ce soir je m'en moquais bien. Deux longs mois.

Je me penchai en avant et scellai mes lèvres aux siennes pour un bref baiser emprunt de force masculine comme toujours, loin d'être tendre comme si nous n'osions, comme si je n'osai surtout, et c'était le cas. Je n'étais pas comme elle, je n'étais pas démonstratif, mais l'attention et l'intention étaient là.  « Me fait pas chier, ça fait deux mois que j'ai pas eu la malchance de t'entendre crier au téléphone, t'as même pas voulu décrocher. Tu n'as pas l'air malheureuse de me trouver là. Je t'ai manqué ? » Un nouveau sourire étire ma bouche en un rictus supérieur et je glissai mes mains sur son corps. Tout d'abord sous son haut, puis remontant effleurer d'une légèreté certaine sa taille, ses côtes, retombant sur ses hanches, et ce inlassablement. Pour qu'elle m'en parle ainsi je devais forcément lui avoir manqué, même un peu. Je m'écartai toutefois pour me hisser hors du lit et saisis l'arrière de mon débardeur pour le retirer en un geste, dos à elle. Mon pantalon tomba tout aussi vite une fois déboutonné. Je m'étirai les bras en vitesse et me glissai à nouveau sous les draps en boxer noir, à défaut de mieux. J'aurais pu me déshabiller dans le lit, mais je voulais tout de même qu'elle m'observe, comme d'habitude, pour me regonfler de fierté.

Je l'attirai une nouvelle fois à moi et enfouis mon visage à la base de son cou, refermant les yeux.   « T'as fais quoi toi pendant deux mois ? Toujours la même chose ? » Une légère amertume perturbait ma voix : je n'aimais vraiment pas savoir qu'on lui passait dessus comme ça. Mes doigts s'encrèrent sur ses hanches démarquées et je ramenai mon corps contre le sien pour lui faire sentir à ma façon mon désir qu'elle m'appartienne, à moi et moi exclusivement.  « Arrête putain, trouve toi un job ailleurs, comme caissière par exemple. Ca paye pas de mine et c'est pas une très belle image, mais au moins c'est pas dégradant. » J'ignorais pourquoi elle faisait ça, je n'avais jamais posé la question, mais elle le faisait et c'était déjà insupportable. Je basculai ensuite de telle sorte à me retrouver dos au matelas, lui servant alors d'appui en l'ayant hissée sur mon corps, mes lèvres dévalant son buste par dessus son haut.  « Et puis si tu te mets à genoux, je pourrais peut-être accepter de te prêter de l'argent.. » Je souris : nous savions tous deux quelle était ma vision de la mise à genoux, et ce que j'attendais alors d'elle. Ce n'était ni des supplications, ni des pleurs ou des appellations différentes, c'était du plaisir. Et si j'en riais avec un ton si détaché, un poids oppressant m'écrasait la poitrine à savoir que je réclamais la même chose que les autres. Du plaisir contre de l'argent.



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Kwang Yuna
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You makes me mad
"Attendre après toi, c'est comme attendre après la pluie durant cette sécheresse : inutile et désappointant."


Je grogne quand il ose explorer mon corps sans la moindre hésitation. Et le pire c’est qu’il sait exactement où me toucher pour que ça me plaise. Le clou du spectacle c’est que je réponds même à son contact, instinctivement parce que j’apprécie et qu’il m’est bien rare de prendre du plaisir avec un homme. J’avoue qu’il n’y a que lui pour me faire autant d’effet et j’avoue que ça me rassure de savoir que je peux encore être attirée par un homme, sans en être dégoutée. J’ouvre les yeux et je fronce le nez quand il me donne un baiser sur la joue. Je lui dis simplement sans le moindre ménagement, ce n’est pas le moment de lui donner de faux espoir ni de fausses concrétisations. Je ne peux lui promettre ni l’un ni l’autre. - « Je ne suis pas ta pute exclusive. D’autres types passent avant toi et passeront après toi. Te fait pas trop de film de croire que je suis ta pute. Ça serait te voiler la face. » - je suis franche et crue, mais c’est la vérité. Je passe mon bras sous son t-shirt et je caresse son dos du bout de mes doigts, accentuant le contact de ma paume contre sa peau. J’ose même approcher mon visage près du sien, effleurant juste ses lèvres dans un souffle qui se dégage de mes lèvres. Rien que pour le narguer et parce que ça me plaît d’agir ainsi. Je suis une femme après tout et quand un homme me fait de l’effet, je ne peux pas non plus rester de marbre perpétuellement. Je le suis auprès des autres, je ne ressens rien que du dégoût, de l'indifférence, voir de l'ennui de ne rien ressentir face à l'apparence corporelle de ces hommes qui eus prenne un plaisir malsain à me prendre comme si j'étais qu'une simple « marchandise. Ce que je suis, c'est une fatalité et le plus souvent c'est que j'ai beau me rebeller intérieurement, extérieurement je dois le plus souvent me plier pour ne pas avoir des représailles ensuite. Quand il me parle de ses conquêtes je me mets rire parce que je me fiche ouvertement de lui, c'est moi qui « gagne » de ce côté là, il est bien loin de m'égaler par rapport à ça. « Ne fais pas le beau et ne te donne pas non plus la médaille. C'est moi qui aie le plus de « conquête » que toi. Tes parties de jambes en l'air comparé aux miennes c'est du vent. Je te surpasse de bien loin. » - je n'en suis pas fière pour autant, je fais seulement une constatation et il ne peut pas en dire autrement. Qu'il se la ferme et qu'il ne bronche pas face à cette « réalité ».


Quand il se penche vers moi je glisse ma main derrière sa nuque et je pose mon pouce sur sa joue, quand il m'embrasse, j'y réponds sans hésitation. Ma prise se fait plus ferme derrière sa nuque pour accentuer le baiser, je me cambre un peu parce que j'aime son corps et ses baisers. Bien oui je sais apprécier les bonnes choses surtout quand elles me plaisent. Et puis ça lui cloue le bec pendant un bref instant, même si ça ne dure jamais longtemps, la preuve il se remet à parler à nouveau et ça commence à m'énerver qu'il fasse du vent dans ses paroles. Je soupire fortement et je commence à devenir impatiente et je veux seulement qu'il se la ferme et qu'il me donne ce que je veux. Bordel est-ce que c'est trop compliqué pour que son cerveau puisse capter ? « Ferme là un peu Woo Jin. Tu crois que c'est le moment de parler de ça. Il n'est jamais question de se manquer l'un à l'autre, on vit très bien chacun de notre côté. On se voit que quand t'a envie de me baiser tout comme il peut m'arriver d'avoir envie de prendre mon pied. Et tu te pointes donc ça m'arrange ! » - il rêve je ne lui dirai pas qu'il m'a manqué parce que j'en sais foutrement rien et puis je n'ai pas envie de me prendre la tête, en réflexion. Ce n'est pas le moment. Il a l'air d'avoir compris, car ses mains se rendent utiles quand elles se baladent sur ma peau. Je soupire parce que j'adore ça et je vais même à la rencontre de son corps, pour en demander plus. Je ne le retiens pas quand il se lève puis, je le regarde se dévêtir devant moi et ce spectacle me plaît. Après tout, qui ne le trouverait pas « bien bâti », je ne fais pas exception à la règle. Je me décale un peu pour lui laisser un peu plus de place, pour lui dire en gros qu'il peut parfois être un poids. Pourtant, je le laisse m'attirer à lui et je passe mes bras autour de sa taille. « Tu le sais très bien. Je me fais baiser tous les soirs jusqu'à ne plus pouvoir marcher. C'est comme ça. La routine quand elle te colle à la peau, tu ne peux pas la changer comme bon te semble. » - ses mains se serrent sans doute un peu trop fort mes hanches, je grogne un peu parce que je n'aime pas qu'on me serre trop fermement. Je ne veux pas qu'il prenne possession de mon corps parce qu'il ne sera jamais le seul. Faut pas rêver. Je gémis un peu quand je sens son désir contre l'intérieur de ma cuisse, je mets une de mes jambes entre les siennes pour le faire chier. « Non. Tu ne peux pas comprendre de toute façon et je n'ai pas envie de t'expliquer non plus . On est pas là pour se confier l'un à l'autre ni même pour s'inquiéter pour chacun d'entre nous. Et puis si c'est de la pitié que tu as. Tu peux te la foutre là où je pense. » - je suis grognon je ne supporte pas qu'on me dise ce que je dois faire, je sais très bien me prendre en main. Je me suis toujours débrouillée comme une grande et je ne vois pas pourquoi ça changerait. Il me fait basculer sur lui et j'apprécie quand je domine la situation ou quand il me le fait croire. Je pose mes mains sur son torse. Je glisse mes mains dans ses cheveux pendant qu'il embrasse mon buste puis, je le plaque durement sur le matelas pour qu'il se tienne tranquille. Un sourire narquois courbe mes lèvres. Il est comme les autres. Le voir se plier en faisant référence à de « l'argent » pour obtenir ce qu'il veut. Je le regarde en le défiant du regard. « Ne pense même pas que je vais me mettre à genoux et à plier à tous tes désirs parce que tu me proposes de l'argent. Je ne suis pas sur le trottoir je te signale, mais chez moi. Donc je suis maître de moi-même et je n'ai pas besoin de me plier à tes volontés. Bâtard. » - je ne lui laisse même pas le temps de répondre que c'est moi maintenant qui l'embrasse avec un peu trop de fougue sans doute et je lui mords la lèvre inférieure pour qu'il ouvre la bouche et je passe ma langue entre ses lèvres ce qui rend le baiser, plus fougueux sans pour autant qu'il soit agressif. Mon portable sonne, mais sincèrement je l'ignore complètement. Je grogne juste entre ses lèvres et je tends mon bras pour l'éteindre ne lisant même pas à l'écran la personne qui peut bien m'appeler à cette heure. Je ne pense qu'à mon plaisir là et rien d'autres ne compte. Je serre mes hanches autour de sa taille pour y donner un peu plus de pression, pour accentuer son désir qu'il a pour moi et rien que de sentir que je lui fais autant d'effet, ça me flatte et j'en suis fière.


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You make me mad, and what ?


Mes lèvres avaient déjà découvert maintes et maintes fois son corps, de peu précédées par mes mains. Ma langue avait déjà goûté la saveur de sa peau et de son intimité par le passé. Mes yeux s'étaient déjà repus du spectacle de son corps se tordant sur ou sous le mien, de ses joues rougies, de son souffle haletant et de ses seins ballotants. Mes oreilles avaient déjà eu le loisir de profiter de ses gémissements et supplications. Je dévalai lentement le long de son buste en déposant çà et là des baisers éphémères et légers, me réjouissant d'avance : lorsque son corps se déchaînait contre le mien, qu'elle se resserrait autour de moi en agrippant les draps, que sa voix se brisait contre ses lèvres scellées aux miennes pour étouffer d'aiguës protestations, je la trouvais plus merveilleuse que n'importe quelle femme du monde. Plus puissante et plus féminine, plus désirable et, il fallait le dire, désirée. L'idée qu'elle ait ainsi agi avec d'autres me rebutait, le fait de ne pas avoir l'exclusivité me fâchait. J'aurais tant voulu qu'elle soit à mes pieds, dans mon lit, à un simple claquement de doigts, n'appartenant qu'à moi. Je la convoitais ardemment, et chacune de nos disputes ne faisaient que raviver cette flamme qui vacillait à nos départs. Le seul bruit de mes désormais suçons comblent le silence, et je me plus à marquer ainsi mon territoire sur son corps que je devinais presque vierge de tout amour, de toute tendresse. N'a-t-elle jamais eu la moindre personne pour lui dire que ce qu'elle fait n'est pas une solution ? N'a-t-elle pas des gens qui tiennent à elle ? Un ami, un amant, un ex ? Je poussai un soupire las et secouai rapidement la tête pour chasser ces pensées floues et néfastes de ma tête. La prendre en pitié n'était pas nécessaire avant de la baiser. Il n'était ni de mon devoir et ni de mon rôle de lui tendre la main. Elle devrait s'en sortir sans moi, et je n'avais même pas à me pencher sur ses problèmes.

Un long frisson remonta le long de ma colonne vertébrale lorsque mon membre en éveil rencontra la peau de sa cuisse brûlante au travers du tissus de mon sous-vêtement pour la seconde fois. Mes lèvres remontent à son oreille pour en saisir le lobe et le suçoter d'une sensualité rivalisant avec la témérité. Mon souffle irrégulier s'abattant directement à ses tympans, mes mains remontant de ses reins à ses épaules pour caresser sa peau avec douceur, je m'assurais de ne pas perdre le moindre contact de son corps contre le mien. Et pourtant, à travers ce manège, je ne digérais toujours pas cette réponse que j'avais moi-même demandé. Tu le sais très bien. Je me fais baiser tous les soirs jusqu'à ne plus pouvoir marcher. C'est comme ça. La routine quand elle te colle à la peau, tu ne peux pas la changer comme bon te semble. Un doigt connaisseur effleura l'aile de son papillon avant que je ne serre le poing discrètement contres on épaule. L'un de mes sourcil tressauta de colère alors que je me bornai à maintenir les yeux fermés. Plaqué sous son corps avec force, sa langue jouant lascivement contre la mienne dans un baiser des plus érotiques, je ne pus me laisser aller pleinement. Troisième ? Septième ? Douzième ? J'étais le combientième, ce soir, qu'elle attisait de sa langue, sur qui elle allait s'empaler sans fierté ?

Ses hanches se plaquèrent à ma taille et mon désir n'en fut que douloureusement renforcé. Sous la surprise, je quittai ses lèvres pour hoqueter, oubliant momentanément mes délires et pensées étranges. Lorsqu'elles revinrent ce fut avec force, et j'ignorai si elle notait ma réticence alors à toucher son corps, comme dégoûté, mais il fallait me rendre à l'évidence. Quelque chose en ces mots me retournait et me faisait de l'effet. Me mettait en colère. Sans doute la fatigue prônait-elle aussi sa place. Cependant je sus me ressaisir à son appel silencieux. Mes bras musclés enserrèrent son corps douillet et je la retournais une nouvelle fois pour la plaquer contre le matelas. Contre toute attente, alors que mon corps bouillonnait d'une jalousie certaine à la savoir avec tant d'autres, c'est un sourire narquois et sournois que je lui offris en déposant un nouveau baiser contre sa bouche pulpeuse. Ma main droite remonta dans ses cheveux pour les agripper délicatement et la forcer à pencher la tête : mes lèvres dévièrent dans son cou avec fougue, n'épargnant aucune zone du brasier se propageant sous mes baisers. Jalousie ? Il est vrai que j'ai toujours été un homme jaloux et possessif, mais d'ordinaire les femmes restent des femmes, bonnes à baiser et à jeter. L'idée qu'elle puisse tant me tourmentait m'inquiétait, car il était clair qu'elle était à l'origine de nombreuses questions dans ma tête, et de nouvelles sensations aussi. J'ignorais qu'elle emprise elle avait sur moi, mais pour la supporter et revenir la chercher après toutes nos violentes querelles... Je devais en être sacrément mordu. Ses vêtements aussi vite dégagés qu'oubliés, je me penchai vers son buste à nouveau pour poser ma bouche inquisitrice sur sa peau parfumée. Tout d'abord avec lenteur, ce fut peu à peu d'un entrain et d'une vivacité prompt à l'état de stress naissant que je redessinai le contour de son sein gauche, mes poings alors serrés et tremblants de chaque côtés de sa gorge.

Et malgré tout, malgré l'excitation intense, le désir consumant, le besoin d'elle étrange, la peur de ce qui me liait à elle à l'instant et le mépris pour son métier eurent l'effet d'une douche froide immédiate sur mon corps rudement bien dessiné. Sans explications concrète, je me relevai en serrant les dents et sorti de la chambre, la laissant au milieu du lit avec un corps à compléter.  « Tu m'dégoutes, j'en ai assez de baiser une pute qui fait rien pour s'en sortir. J'en ai marre d'être le vingtième chaque soir, et de profiter de tes piètres services parce que t'as déjà tout donné. » Je claquai la porte et reniflai avec un dédain certain, refusant pour autant à m'éloigner de ce lieu. Primo parce que mon pantalon et mon haut étaient toujours dans la chambre, deuzio parce que ma curiosité me poussait à attendre sa réaction. Je m'affalai dans le canapé et fermai les yeux : c'était la première fois que je m'emportais pour ce détail qui n'avait jamais eu d'importance entre nous. Ces deux mois avaient été bien étranges et la fatigue me poussait à des excès ainsi que des raisonnements que je ne pensais pas être en mesure de faire un jour.  « Aigoo Yuna.. Un de ces jours tu me rendras dingue. » soupirai-je dans une sorte de mélancolie. Permettre à la rancoeur de surplanter un tel désir, il fallait au moins qu'elle me rende malade pour ça. Etais-je malade ? Malade de Yuna peut-être ? Atch.. Une raison de plus pour m'en dépêtrer, de cette catin.



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