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 (bekhyo) Baby, there's no other superstar, you know that I'll be your papa-paparazzi.

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Hwang Bekah
Les squelettes de son placard
ADMIN DONATELLA ❝ attention whore
Hwang Bekah
tel un warrior j'ai débarqué le : 06/10/2013
tema la secla, j'ai tant de messages : 131
et j'ai déjà la blinde de k₩ : 4084 alors j'suis célèbre à ma façon: :
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Azi tu veux un rp ? je suis : dispopotame
j'ai même d'autres gl pour te plaire : ft. Im Yoona
et l'actuelle je la dois à : Nelliel
en rp j'suis le sosie de : Jung Soojung ( f(x) )
On me connait en tant que : Rebeccá (vrai prénom, italien)
Bekah
Queen Bee / Princess
Donna (ne cherchez pas à comprendre)
J'ai la vie d'vant moi, du haut d'mes : 22 ans (va sur ses 23 ans)
Mais j'en ai déjà vécu des choses : [url=http://]fiche de présentation[/url]
mes journées sont bien remplies : Visionnaire chez Velvet Dust.
avis aux stalkeurs : www. Bekhyo
www. (blabla) ft. blabla
www. (blabla) ft. blabla checke ma to do list : - Acheter une nouvelle paire de Jimmy Cho
- Passer une semaine dans mon appartement à Rimini, Italy
- Ranger mes berets et retrouver le vert.
- Faire une séance de shopping à Mark & Spencer
- Me reteindre en rousse
- Eviter Seungho au possible.
- Partir à l'étranger avec mes sauces, Rachel et Sunny
- Me faire tatouer quelque chose de classe.
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Je suis unique
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CITATION: Si vous avez un rapport sexuel, vous courez le risque de mourir et les conséquences de la mort sont définitives
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OUTFIT - SHOES - HEURE DU RENDEZ-VOUS : 16h00.

« Quelque chose d’assez léger. Et ayez la main légère sur le fond de teint. » J’ai beau ne pas être mannequin, j’aime demander aux maquilleurs présents sur mon lieu de travail de s’occuper de moi. C’est ça quand on a du pouvoir, personne n’ose nous refuser quoi que ce soit. La maquilleuse s’activa immédiatement, trop habituée à ce que je râle continuellement sur son « incompétence ». Pendant ce temps, je checkais rapidement mon fils d’actualité GNS, histoire de voir les nouvelles updates des personnes que je suis. Alors que je souriais niaisement devant une selca postée par Sunhee sur laquelle elle faisait une magnifique grimace, un sms attira mon attention. En effet, Hyodae – un paparazzi qui m’envoie régulièrement des infos sur les stars contre de l’argent – m’informa de la présence jusqu’alors tendue top secrète de Justin Bieber sur le sol coréen. Mieux, il était à deux rues d’ici et être photographiée à ses côtés serait l’occasion pour moi de faire une nouvelle fois la une des magasines. « J’ai changé d’avis, je veux quelque chose de plus prononcé, finalement. » La maquilleuse, exaspérée, leva rapidement les yeux en l’air. Dans sa tête, elle m’avait déjà tué 3 fois. Peu importe, je jubilais à l’idée de voir le Beebs et pour cela, il fallait que je change de tenue, je ne pouvais pas me présenter devant lui dans ces Jimmy Cho qui datent du mois dernier, déjà trop ringardes. Une fois la séance de maquillage finie, je vérifiai mon visage sur le miroir et, satisfaite, je remerciai la maquilleuse d’un sourire hypocrite. Il était maintenant temps de me changer, Jerôme, un styliste français avec qui j’avais sympathisé proposa de me trouver une tenue adéquate. Connaissant le goût prononcé pour la mode des français, je lui faisais confiance les yeux fermés.

16h. Je suis d’ordinaire très ponctuelle mais quand il s’agit de quelque chose d’aussi important, je peux même venir des heures à l’avance. Comme prévu, Hyodae était sur place, l’appareil photo autour du cou, prêt à immortaliser ma rencontre avec la star de la pop. « Bon, on attend qu’il se gare, je vais lui parler, je fais semblant de rire pour qu’on nous pense proche, tu photographies et tu publies. Et si t’es sage, t’auras le droit à un zéro en plus sur ton chèque. » Ce genre de personne, il faut bien les motiver et seul l’argent peut le faire. « Avec, tu pourras t’acheter de nouvelles pompes parce que chéri, je ne sais pas quel pakos te les as fabriqué mais elles ont pas l’air très solides, ni en bon état. Je vais voir avec mes cops si on peut te faire un relooking express un de ces quatre. » ajoutais-je avec un sourire mi-taquin, mi-prétencieux.
La voiture aux vitres teintées se gara finalement en face de nous. Que le spectacle commence ! Je fis un dernier signe au paparazzi avant de m’approcher de la portière, répétant dans ma tête ce que j’allais dire au blondinet. Le problème, c’est qu’au lieu de le voir descendre du véhicule, deux gardes du corps sortirent par la portière de derrière, ce qui rendait le contact impossible avec lui. « Excusez-moi, je dois parler à Justin Bieber, je suis une de ses amis et -- » Pas le temps de finir ma phrase, des gamines boutonneuses enragées étaient sorties de nulle part et se collaient contre la voiture comme si elles voulaient ne faire qu’un avec elle. Une dizaine de gardes sortirent à leur tour du véhicule et l’un deux me poussa, ce qui me fit perdre l’équilibre, tomber sur les fesses et casser un de mes talons. « Connard » scandais-je en essayant difficilement de me relever. Mon plan était totalement bousillé et avec toutes les groupies, il était impossible pour moi de parler avec Justin Bieber.
Résignée, je rejoignis Hyodae sur le trottoir d’en face tout en boitant à cause du talon cassé. «  Tu as 1 seconde pour trouver une excuse, une seconde, pas plus. A cause de toi, je dois avoir un énorme bleu sur le postérieur, j’ai perdu ma journée, j’ai le talon d’un de mes louboutins cassé et … tu te rends compte dans quel état je suis ? » Il fallait bien que je m’énerve sur quelqu’un.
Alors que je pensais que la situation était déjà assez irritante comme ça, une des gamines se mit à hurler bien fort tout en me pointant de son gros doigts immonde. «  Je l’ai vu sortir de la voiture, elle était avec Justin Bieber ! » suivit d’une autre qui cru bon d’ajouter «  Mais oui, elle a déjà fait la une des magasines, cette p*te  » A ce moment là, je compris que l’heure était grave, il fallait qu’on bouge rapidement si on ne voulait pas mourir. « Sundae, va falloir qu’on court. ET VITE » Oui, parce que une horde d’adolescentes en chaleur couraient déjà en notre direction, prêtes à me tuer. « Shit, porte moi, je vais pas pouvoir courir comme ça ».
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Sun Hyo Dae
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Sun Hyo Dae
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Azi tu veux un rp ? je suis : ooopen bar
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et l'actuelle je la dois à : heresy.
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On me connait en tant que : Maître Yoda, Sundae (caramel)
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Tous les moyens de grappiller des billets sont bons. C’est un peu (beaucoup) ce qui m’a poussé à devenir paparazzi – l’engouement des fans pour les stars, leur vie privée, leurs relations… une source de gain non négligeable hein. C’que vient faire Hwang Bekah dans l’histoire ? Mais c’est tout simple : tout le monde sait qu’elle est constamment à l’affût d’opportunités de paraître à la une des magazines. La première fois qu’elle m’a contacté pour lui arranger une mise en scène avec une célébrité, on est parvenus à monter un article de choc avec Tom Hiddleston, rien qu’ça. Autant dire que, depuis, les gens se passionnent pour ses aventures ! Et bien sûr elle répond toujours présente quand je lui passe des filons – les emplois du temps des stars que j’arrive à pister, histoire de monter des histoires qui boosteront à coup sûr l’intérêt des lecteurs (et donc celui des éditeurs) pour mes info. Forcément, en foulant le sol coréen le Bieber n’avait aucune chance d’échapper à notre duo de choc. Et cette fois encore elle est au rendez-vous. « Avec, tu pourras t’acheter de nouvelles pompes parce que chéri, je ne sais pas quel pakos te les as fabriqué mais elles ont pas l’air très solides, ni en bon état. Je vais voir avec mes cops si on peut te faire un relooking express un de ces quatre. » Le déclic de l’appareil photo immortalise l’éclat dédaigneux de son regard, un poil adoucit par son sourire amusé. Peu étonnant que les gens adhèrent aux articles la concernant, elle est photogénique la garce. « Tout le monde rêve de m’avoir pour modèle », je réplique d’un air faussement blasé, telle une star que tout le monde s’arrache – Mais ma place est derrière l’appareil, pas devant, alors osef de mes godasses! J’prendrai bien le fric que tu comptais mettre dans le relooking par contre… » Clin d’œil et nouveau déclic, vite fait avant que je ne la tourne en direction de la voiture qui vient de se garer quelques mètres plus loin. « Il est temps d’entrer en piste, j’espère que t’es prête à faire ta diva parce qu’on ne fera qu’une seule prise », je chuchote en la lâchant pour me saisir de l’appareil, prêt à la mitrailler dès qu’elle sera parvenue à approcher la cible. Espérons que le bougre n’ait pas eu la bonne idée de boire son lait quotidien dans l’heure précédente, ce serait dommage qu’il lui dégueule dessus.

Pour ma part je me fais discret. J’compte bien lui tirer une œuvre d’art écoutez, elle a quand même promis de rajouter un zéro au chiffre habituel ! … Sauf que rien ne se déroule comme prévu. J’ai seulement le temps de changer d’angle de vue pour un cliché potentiellement intéressant : sa main est levée et semble, d’ici, posée sur la portière entrouverte alors qu’elle ne la touche pas du tout en réalité. Autour d’elle, deux bodyguards auxquels elle parle comme si elle leur ordonnait allez savoir quoi. Je suis trop loin pour entendre leur discussion mais je me doute qu’elle exige qu’ils bougent pour lui laisser accès à JB, avec tout le toupet dont elle est capable de faire montre. Et là, c’est le drame : des fans fondent sur le groupe comme des oiseaux affamés sur leur proie, j’entends venir le troupeau en rut avant même de l’apercevoir. Le son du déclencheur retentit en rafale, je cadre mes images avec la rapidité que confère l’habitude, les idées d’interprétations se bousculent. Comme la façon dont le malotru bouscule ma partenaire – il suffira d’une retouche minime et de quelques belles phrases pour laisser entendre qu’il a tenté de la retenir alors que les fans rendues hargneuses par la jalousie l’avaient fait trébucher. Non franchement, je jubile !

… ‘fin c’est le cas jusqu’à ce qu’une furie envahissent mon objectif. «  Tu as 1 seconde pour trouver une excuse, une seconde, pas plus. A cause de toi, je dois avoir un énorme bleu sur le postérieur, j’ai perdu ma journée, j’ai le talon d’un de mes louboutins cassé et … tu te rends compte dans quel état je suis ? » Je cligne des yeux comme un hibou éberlué, non sérieux j’vois pas le problème. Le futur buzz m’obnubile, faut dire. « Tu délires elles ont été parfaites ! », je proteste en faisant défiler rapidement la série de photo que je viens de prendre, pour m’assurer que tout y est. Oulah elle porte un peu à confusion cette phrase, faudrait pas non plus qu’elle croie que j’ai quelque chose à voir avec le débarquement de fans ! « Bon c’est pas exactement ce qu’on avait prévu mais le résultat sera encore plus kiffant, fais-moi confiance. » Mon sourire carnassier dit tout du fond de ma pensée, mes prunelles pourraient se transformer en dollars que ce ne serait pas plus parlant. Je pense déjà à ce que j’en ferai, de ce fric – m’acheter une moto ! Enfin quelque chose qui ne passera pas dans des fringues pour la demi-portion qui me sert de gamin. « Ecoute, voilà l’idée – » Pas le temps d’aller plus loin : une voix m’interrompt, affirmant que Bekah est sortie de la voiture de Bieber. J’suis outré, c’est MON histoire ça ! .. ouais, sauf que c’est pas trop le moment pour causer pseudo plagiat. « Sundae, va falloir qu’on court. ET VITE. » Excellente déduction Sherlock, à voir le mouvement de foule qui nous vise c’est une idée tout à fait appropriée. Mais... « Shit, porte moi, je vais pas pouvoir courir comme ça ». « yah micheosseo !? » Je la dévisage rapidement de haut en bas ; elle a perdu la tête ou bien.. ? « Je peux toujours t’allonger sur le côté et te faire rouler mais certainement pas – urgh ! » Ma phrase se termine dans un borborygme étranglé, elle n’a pas attendu mon avis pour s’accrocher à mon cou ! « T’étais catcheuse dans une vie antérieure ou quoi ? » Je proteste en essayant de la décrocher mais pas moyen, en plus les ado enragées sont dangereusement proches, l’heure est grave. Bekah me perce un tympan en me hurlant de me dépêcher et, tout en pestant, je me baisse rapidement pour lui permettre de se stabiliser. J’attrape ses cuisses enroulées autour de ma taille – seulement pour l’empêcher de tomber voyons, j’suis un gars tellement attentionné et tout ça. « Si tu voulais un piggyback pour rentrer il suffisait de le demander, pas besoin de provoquer la guerre mondiale de 78 ! » je râle en détalant, jetant de temps à autres des coups d’œil derrière moi. Mais c’est qu’elles sont bien décidées à nous faire la peau ! Ne sous-estimez surtout pas la folie des Beli… Bili… belivers ouais. Elles sont capables de se taillader les bras alors je ne veux pas savoir ce qu’elles feraient de ma tête maintenant que je suis fiché comme étant le comparse d’une ennemie d’état.

Dérapage contrôlé au coin d’une rue passante, je plonge derrière l’étal d’une marchande ambulante et me tue presque les genoux en retombant lourdement dessus – c’est qu’j’ai un ajout de poids inhabituel sur le dos, pauvre de moi. « Ar- tm’é- gler », je baragouine misérablement, à bout d’oxygène, avant de parvenir à me libérer une main pour arracher son bras de mon cou ; « Tu m’étrangles ! » Et voilà qu’on se dispute. A voix basses certes, mais niveau discrétion c’est l’pied total ! La preuve, un « ILS SONT LA » ponctue notre échange et la masse de tarées change tout à coup de direction pour rebrousser chemin… vers nous. Malédiction !


Dernière édition par Sun Hyo Dae le Lun 30 Déc - 15:52, édité 2 fois
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Il en avait des bonnes idées, ce type ! Me faire rouler sur le sol ? Mais quel gentleman, je vous jure ! De toute façon, il n’avait même pas eu le temps de finir sa phrase, j’avais bien trop peur de finir défigurée par des gamines pré-pubères en rut. Le pauvre ne comprenait rien à ce qu’il lui arrivait, sans perdre une seconde et pendant qu’il m’expliquait un de ses plans « extraordinaires » -laissez moi en douter- je m’agrippai à lui de toute mes forces. Ne me demandez pas pourquoi mais j’ai toujours rêvée de faire ce genre de chose, ça fait tellement « film ». Sundae ne semblait pas comprendre l’urgence de la situation puisqu’au début, il tentait vainement de me faire descendre ; oui, mais ça, c’était avant que les furies soient si proches de nous. «  Putain, mais vite ! » En tant normal, j’évite les vulgarités mais c’était sorti tout seul. « Si tu voulais un piggyback pour rentrer il suffisait de le demander, pas besoin de provoquer la guerre mondiale de 78 ! » C’est qu’il est prétentieux, en plus ; pourtant, ce n’est vraiment pas le genre de type qui pourrait se le permettre. « Tu rêves là, tu ne sais pas le nombre d’hommes qui rêverait qu’être à ta place, chanceux ! » C’est vrai quoi, si je le voulais, je pourrait facilement avoir qui je veux, le seul problème, c’est qu’aucun homme n’a su attiré mon attention. Je suis difficile, certes, mais j’ai mes exigences. De toute manière, le plus important pour le moment, c’est le magasine et rien d’autre, je n’ai tellement pas le temps de chercher l’amour. Beurk.

C’est quand même flatteur que ces idiotes en converses all star pensent que je sors avec Justin Bieber. Dire que j’étais à deux doigts de lui parler, c’est fou. Ce serait drôle qu’elles lancent la rumeur et que je puisse ensuite l’alimenter en postant deux-trois tweets juste assez ambigües pour semer le doute. Certes, j’aurais des millions de groupies à mon dos mais on ne perd jamais une occasion de faire parler de soi. Après tout, ce n’est pas en un jour que Kim Kardashian s’est faite connaître. Je ne veux pas totalement suivre son exemple en dévoilant une sextape –quel manque de classe- mais il suffit juste que je trouve un tremplin pour me faire connaître. A un coin de rue, Sundae trouva un moyen de se cacher derrière une étale. Ouf, on avait réussi à les semer pour le moment. Elles n’allaient quand même pas nous traquer toute la journée …  Quoique, on ne sait jamais jusqu’où une Beliber en chaleur peut aller. Jamais. Je suis de très près l’actualité du jeune canadien et j’ai entendu dire tellement de fois que ses fans sont pour la plupart assez folles que ça me fait peur. « Ar- tm’é- gler » Qu’est-ce qu’il raconte ? Après avoir poussé une de mes mains, il essayait comme il le pouvait de reprendre son souffle mais il exagérait tellement, quel comédien ! Un vrai UGC-sur-patte ce type, il devrait s’orienter dans le cinéma, il est plutôt doué. « Tu m’étrangles ! » Vive la discrétion, il manquerait plus qu’il prenne un haut parleur pour indiquer notre position aux furies. « Comment ça je t’étrangle ? T’es vraiment fragile comme mec, c’est dingue » répliquai-je en levant les yeux en l’air. Voilà qu’on se disputait alors que c’était loin d’être le bon moment, on gérait vraiment pas. « ILS SONT LA » On gérait tellement pas qu’elles nous avaient retrouvés. Mon dieu, toute cette agitation allait finir par me fatiguer et si un jour j’ai des rides, ce sera de leur faute. « Stupid ! C’est de ta faute tout ça ! » Heureusement pour moi, la marchande en face de nous vendait tout un tas de sabots dégueulasses « made in China » ; profitant de son manque d’attention, j’en attrapai une avant de prendre la main de Sundae et de courir. Elles auront ma peau, sérieusement ! «  Dis, Sun, tu penses qu’il y en a à peu près combien ? » Une armée, sans exagération. Je dois vraiment avoir un mauvais karma pour me mettre dans ce genre de situation. Il faut vraiment que je me remette au yoga et que je fasse quelques bonnes actions. Tiens, si je donnais mes vieux sacs Michael Kors à la réceptionniste du 3ème étage? Sa manière de s’habiller est tellement cheap qu’elle serait folle de joie de posséder enfin un objet de marque. Je suis une Sainte, ma parole ! Pendant que l’on courrait dans les rues de Séoul, je me débarrassais comme je le pouvais de mes magnifiques louboutins tout neufs pour enfiler à l’arracher les sabots volés auparavant. Non, je ne suis pas une voleuse, ces pompes sont si moches qu’elles devraient être gratuites.

Tout d’un coup, une idée de génie me vint. « Sun, écoute moi bien. Je vais m’arrêter et laisser les furies s’approcher de moi. Tu me prends en photo en tant que victime qui se fait frapper par des fans et ce sera l’occasion d’inventer une pseudo-relation entre le beebs et moi. Du genre « ouai on est tellement ensemble que les fans me courent après. Ayez pitié de moi, je veux seulement vivre ma relation dans le secret. »Mais ne les laisse pas me tabasser non plus, tu me sauves juste à temps pour que j’en sorte saine et sauve. On fait comme ça ? »  Il faut bien prendre des risques pour avoir du succès. J’espère juste que j’arriverais à m’en remettre facilement, comme Rihanna après que Chris Brown l’ait battu. «  Ah, essaye de ne pas prendre les chaussures en photo, je ne veux pas que les gens me croient pauvres » Sur ce, je m’arrêtai. Et c’était parti pour une nouvelles mise en scène, 1, 2, 3, action !
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Sun Hyo Dae
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« Stupid ! C’est de ta faute tout ça ! » « Mes excuses Hwang-sshi, j’aurais dû être reconnaissant de me faire étrangler par tes mains délicates, quel ingrat je fais ! » Je me masse (théâtralement) la gorge tout en lâchant cette phrase dégoulinante d’ironie, pour bien illustrer mes dires. Elle bifurque sans crier gare pour piquer une paire de chaussures en vitesse, des sabots plutôt stylés, puis m’attrape par la main pour qu’on détale en vitesse ; je siffle en signe d’appréciation : « Mais tu as la main vive dis donc, j’ai affaire à une habituée ? » Compliment d’un pro s’il vous plait, j’ai derrière moi une bonne décennie d’entraînement en matière de vol à l’étalage – bien dommage que ce ne soit pas considéré comme une expérience professionnelle digne de figurer sur un cv, n’est-ce pas. «  Dis, Sun, tu penses qu’il y en a à peu près combien ? » « A vu d’oeil... » - je regarde par-dessus mon épaule pour vérifier, et ai la désagréable surprise de me rendre compte qu’elles ont l’air de se multiplier. Wut, c’est quoi ce cauchemar ? « on a une belle brochette de coréennes et d’étrangères, j’dirais qu’elles approchent de la cinquantaine. » Dis comme ça ça semble plus ou moins surmontable (ou pas), peu de monde était au courant de la venue du Bieber (mais certaines fans ne se laissent visiblement pas semer facilement par leur star). « A vu de nez par contre, elles pourraient bien être une centaine vu l’odeur qu’elles dégagent » - elles sont passées prêt de nous choper tout à l’heure et autant dire qu’elles empestent la sueur, résultat d’une longue attente dans l’espoir de croiser leur chanteur puis d’une course-poursuite enragée. J’attrape Bekah par les coudes pour l’aider à garder son équilibre tandis qu’elle enfile les chaussures de rechange sans pour autant cesser de courir (instinct de survie oblige). Sauf qu’elle… ralentit, d’un coup, pour me faire part d’une idée bien partie pour nous coûter cher. « Mwol !? Andwae, si je frappe ces timbrées je risque de perdre mon boulot ! » Eh bien oui, l’un de mes emplois nécessite que j’use de mes poings/pieds/tête en quasi permanence tandis que l’autre m’impose d’être à la fois insistant, invasif, mais pacifique. Dans des cas comme celui-ci, je regrette un peu de ne pas avoir carte blanche. « Il vaut mieux qu’on - » Trop tard. «  Ah, essaye de ne pas prendre les chaussures en photo, je ne veux pas que les gens me croient pauvres », a-t-elle le temps de préciser avant que sa mine déterminée ne se mue en expression horrifiée. Surfaite ? J’pencherais plutôt pour dire qu’elle est naturellement inspirée par la meute à deux doigts de lui tomber dessus ! Et puisqu’il ne me reste rien d’autre à faire je reprends la série de clichés là où je l’ai arrêtée, gravant en rafale le carnage sur la pellicule… sans pour autant me retenir de lui crier que c’est un très mauvais plan.

Lorsque je m’arrête à peine quelques secondes plus tard, Bekah a déjà disparu de ma vue, encerclée par toutes les folles qui en ont après elles… j’ôte rapidement la bandoulière de mon appareil pour l’enfoncer dans le ventre du premier venu, pressé par le temps : « Yah chingu, tiens-moi ça une minute. » Je me maudis intérieurement de m’être mis dans cette situation mais mine de rien, les bastons généralisées m’ont toujours grisé – dommage que je ne puisse pas en profite autant que je l’aurais voulu. Je lance tout de même une mise en garde en attrapant une poignée de cheveux au hasard histoire de me frayer un chemin : « Si tu te barres avec, j’te retrouve et je te fais la peau ! » Faudrait tout de même pas que mon scoop me file sous le nez !

C’est sans doute le rêve de tout homme qui se respecte, de se retrouver encerclé par tant de représentantes de la gent féminine, toutes bien décidées à se l’arracher. Sauf que l’histoire sonne tout de suite moins glamour quand on considère qu’elles puent, qu’elles sont trop jeunes pour être intéressantes et que leurs bras ont parfois des traces de la mission #Cut4Bieber. Fli-ppant-es, vous dis-je. J’atteins enfin le cœur de la bataille en jouant des coudes, après quelques coups de dents et de griffes, pour trouver ma « protégée » en plein catfight ; je me remémore mes bonnes résolutions pour m’exhorter à ne pas blesser ses assaillantes, mais leur façon de se jeter comme un seul sur une seule et unique personne me met en rogne. Un coup sec sous le sternum fait reculer la première, tandis que mon autre main atteint fait pression sur la clavicule d’une deuxième. Une troisième est sauvagement agrippée à Bekah ; je la frappe à la tempe du dos de deux doigts repliés, visant le nerf occipital. Elle lâche prise en hurlant de panique, ses mains s’agitant devant ses yeux alors que sa vision troublée s’est probablement réduite à un voile noir. Ça a le mérite de refroidir les ardeurs des autres, auxquelles je gueule de dégager, avec plus ou moins de succès. Alors qu’une partie d’entre elles se calment, d’autres s’enhardissent et joignent leurs forces pour profiter de leur surnombre et nous submerger. Les coups pleuvent, désordonnés et agressifs de la part de nos assaillantes ; j’essaye de rester méthodique et de serrer les dents pour ne pas simplement leur envoyer mon poing dans le pif. « Gapeoryeo, i meongcheongga », invective lancée à l’une des amazones particulièrement casse-pied, qui a le bon goût de reculer au moment où je lui fais face. Sauf qu’elle est immédiatement remplacée par un.. une (?) autre ? « Hwang-sshi, tu peux m’expliquer comment on s’est mis à dos la réincarnation de Goliath ? Ou alors c’est cette PigZilla dont tu m’avais parlé qui vient prendre sa revanche… » C’est que la donzelle a des ennemis à l’échelle internationale s’il vous plait, elle est allée en pécho une jusqu’en Grèce quoi ! N’empêche que la masse de gras n’a pas apprécié ma remarque et se jette sur nous avec un cri de guerre. Ok, celle-là je la terrasse, un danger public pareil ne doit pas être laissé en liberté. Elle me plonge dessus bras en avant, dans une posture imprudente, et je retourne le mouvement contre elle en la bloquant par une clé de bras, pour la projeter au sol.

… et à peine se retrouve-t-elle par terre qu’un coup à l’arrière des genoux me renverse. Je me débats comme un beau diable avant de m’immobiliser net quand une voix familière retentit à mon oreille : « Calme-toi ssaeki-ah ! » La lèvre inférieure en sang (la peau écorchée doit se trouver sous les ongles de l’une des pétasses), j’esquisse un sourire. « Babo, t’en as mis du temps à te ramener. » Jung Jae Won me relève d’un mouvement brusque, sans doute trop sur les nerfs pour avoir envie de me ménager, mais je ne m’en fais pas. Je croise le regard d’une Bekah outrée d’être agrippée par un keuf au même titre qu’une bonne partie des furies ; je lui adresse un clin d’œil pour qu’elle cesse de s’égosiller. Même s’ils nous ramènent au poste, on est entre de bonnes mains avec Jae Won. Une veine que ce ne soit pas Shim Tan, quoi. « Jamkkanman, mon appareil ! » Mon poulet attitré me flanque un coup à l’arrière du crâne pour me faire taire, mais il ne loupe pas pour autant l’occasion de me prendre après. « Shiggeureo ! Tu crois que c’est ce qui importe le plus ? Et parle formellement à tes aînés, aish... » « Arasseo arasseo », je marmonne de mauvais gré en me laissant embarquer dans le carrosse tout confort qui n’attend que nous.
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Hwang Bekah
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On me connait en tant que : Rebeccá (vrai prénom, italien)
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(bekhyo) Baby, there's no other superstar, you know that I'll be your papa-paparazzi. Tumblr_lydi86DJuj1qbh0yco1_250(bekhyo) Baby, there's no other superstar, you know that I'll be your papa-paparazzi. Tumblr_lydi86DJuj1qbh0yco2_250

« Mes excuses Hwang-sshi, j’aurais dû être reconnaissant de me faire étrangler par tes mains délicates, quel ingrat je fais ! » Je fermerais les yeux cette fois-ci mais seulement parce qu’il s’excuse sincèrement et que je n’ai pas la force de répliquer. Après tout, c’est quand même de sa faute si on en est là, monsieur « j’ai un scoop en carton », scoop qui n’en est même pas un puisqu’apparemment toutes les beliebers étaient au courant. En gros, il partage une info confidentielle avec toutes les gamines de 13 ans du monde … et ça se dit professionnel ! Sous le feu de l’action, j’avais attrapé à la volée une paire de souliers dégueulasses surement fabriqués par des fœtus en Chine ou en Inde. Si seulement Rachel et Sunny étaient au courant, elles me catalogueraient comme fashion terrorist rien que pour avoir oser les toucher. « Mais tu as la main vive dis donc, j’ai affaire à une habituée ? » Mon dieu, non, je n’ai jamais eu à voler de ma vie, je considère cela comme un acte dégradant et qui est le résultat d’une certaine pauvreté. Quand on a une suite deluxe louée à l’année à Dubaï, on n’a pas vraiment besoin de voler mais de toute manière, je n’aurais jamais payé pour ces babouches horribles. Et mon dieu, qu’est-ce qu’elles sont plates, je ne mets que du condensé parce que selon Velvet Dust, c’est mieux pour la circulation sanguine de mes pieds.  « Hé, ne m’associe pas avec toi, je suis sûre que tu voles depuis que t’as appris à marcher. T’es le genre de mec contre qui mes parents me mettent en garde : « Rebecca, arrête de te pavaner avec ton manteaux en cils de biche, tu vas faire des envieux » et je suppose que tu fais partie de ces envieux qui n’hésitent pas à dérober les biens des autres ? »

Après avoir couru une donne dizaine de minutes, je m’arrêtai. Acte suicidaire, me direz-vous. Certes, mais il fallait bien faire quelque chose puisque ces pestes n’étaient pas prêtes de laisser tomber. Sundae ne semblait pas apprécier mon idée de génie mais c’était trop tard pour changer d’avis, elles n’étaient qu’à quelques pas de moi. Je rêve ou … l’une d’elle tenait dans sa main une batte de baseball ? Mon dieu, j’espérais juste ne pas mourir, j’étais trop jeune pour cela et le monde de la mode avait besoin de moi et puis, de toute façon, je ne pourrais mourir que quand toutes les marches d’escalier de chez moi seront signées Swarovski. Un poing dans le ventre me fit sortir de mes pensées « Petasse » j’hurlais, la mine horrifiée. En un temps record, plusieurs groupies m’encerclaient et me donnaient des coups à l’aveuglette tout en m’insultant de tous les noms. Mais qu’est-ce que Sundae faisait ? Tapette comme il est, j’étais sûre qu’il était déjà parti en courant telle une fillette de 10 ans. « Arrêtez les filles, c’est pas de ma faute si Justin est fou de moi » … et voilà qu’une d’entre elles me tirait les cheveux avec énergie. «  PAS MES CHEVEUX GROGNASSE, ils sont assurés et si tu les abîmes, tu vas avoir des problèmes, je te le dis …Aïe » Je me débattais comme je le pouvais tout en donnant des coups de pieds et de poing là où je voyais une ado boutonneuse. J’utilisais même mes dents, tous les coups étaient permis ! « SUNDAE RAMENE TOI » hurlais-je tout en griffant une des fans jusqu’au sang. Je peux être sauvage par moment, surtout quand on touche à mes cheveux. Mes cheveux sont ma vie, bitch. « Oh non, j’ai perdu un ongle, ma vie est terminée » J’avais les larmes aux yeux, j’allais surement finir en Guernica grandeur nature. Heureusement que Sundae se montrait enfin, essayant comme il le pouvait de se frayer un chemin parmi les folles tandis qu’une d’entre elles m’avait attrapé de manière à ce que je ne bouge plus. Et comme elle faisait quatre fois mon poids, je ne pouvais pas me débattre, je ne suis pas catwoman non plus. Mes yeux brillaient, Hyodae allait enfin me sauver de ce cauchemar dans lequel je m’étais fourré toute seule. Moi et mes bonnes idées … Du moment qu’il avait prit toutes les photos nécessaires, il était peut-être possible d’en tirer quelque chose, au final. Au moins mes efforts paieront. Il arrivait à en repousser quelques unes mais elles semblaient se multiplier. Ecrasée sous une aisselle, j’étais à deux doigts de tomber dans les vapes. « Hwang-sshi, tu peux m’expliquer comment on s’est mis à dos la réincarnation de Goliath ? Ou alors c’est cette PigZilla dont tu m’avais parlé qui vient prendre sa revanche… » Sa remarque me fit sourire, l’épisode Pigzilla n’aura marqué à jamais. Cette vachette osait se montrer devant moi sans aucun swag, il fallait bien que je m’occupe de son cas et comme Rachel et Sunny étaient prêtes à se battre à mes côtés, on avait réglé le problème avec classe. Ou pas. Revenons-en à la situation dans laquelle j’étais : je venais de me libérer de l’emprise de celle qui puait horriblement des aisselles –bon elles puaient toutes- et pendant ce temps là, Sundae se battait avec PigZilla n°2. Avec brio, d’ailleurs et le tas de graisse finit au sol comme une misérable larve. Bingooo !

Et là, il nous était enfin possible d’essayer de courir le plus loin possible sauf que … la police arriva. Wait. Wait a minute. La police ? Mon dieu, ça ne présageait rien de bon. « Promis, juré, si je sors vivante de tout ça, j’envoie tous mes Marc Jacob aux démunis en Thaïlande ou à Haïti, or whatever. » Un office attrapa Hyodae et avant que je ne le réalise, c’était à mon tour. Attendez … j’étais mise dans le même sac que ces folles. «  Non, non, non, vous faites une vulgaire erreur, je suis Hwang Rebecca, je peux faire de votre vie un enfer. J’ai de l’influence, je suis célèbre, vous n’avez pas entendu parler de la marque de cosmétique que j’ai crée avec ma sœur ? » L’officier m’attrapa plus fermement pour que je me calme. «  Mon père est un grand avocat, je vais porter plainte contre vous. Vous finirez dans un trou à rat pour m’avoir toucher de cette manière, on n’en restera pas là, je vous le promet !  » Sundae me fit un clin d’œil sans que je comprenne ce qu’il signifiait, alors je continuais à crier de plus belle, outrée. On me jeta dans une voiture inconfortable qui sentait le vieux tabac, mon acolyte était à mes côtés, presque dans le même état que moi. Même dans cette situation, je ne pouvais pas m’empêcher de rire. «  Si tu voyais ta tête » Je devais être dans un sal état, avec un ongle cassé, des chaussures en caoutchouc, une partie de ma robe déchirée, du maquillage qui dégoulinait et des bleues un peu partout. Dire que j’avais un tapis rouge le lendemain, il fallait que je m’en occupe le plus rapidement possible.  «  Sunday, rassure moi s’il te plait, sinon je vais faire un arrêt. Tu as bien pris les clichés ? Où est ton appareil photo ? Ne me dis pas que tu l’as fait tombé sinon je vais te sauter dessus, t’arracher tous tes cils et en faire un sac. J’en suis capable et je l’ai déjà fait » Je passais pour une sadique mais ça devait être l’effet post-Seungho. Pourquoi je pensais à lui à un tel moment ? Je dois être folle en plus que ça. « Et puis on nous emmène où là ? Au poste ? On va être en garde à vue ? La presse va être au courant ? Velvet Dust sera informé ? Je peux appeler quelqu’un ? Je me dites pas que je vais restée avec des criminels ! J’ai rien fait, moi ! C’est quand même dingue, des tarées me tabassent en plein milieu de la rue et moi, Hwang Bekah, JE suis arrêtée. Argh » Sérieusement, à ce moment là, j’étais hors de moi. « Ma vie, ma carrière, tout est fichue, je n’ai plus qu’à poster une sextape sur internet pour faire parler de moi »  Comment ça je dramatisais ? Pas du tout, voyons. J’étais dans une voiture de police, j’avais tous les droits d’être frustrée.
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Sun Hyo Dae
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« Hé, ne m’associe pas avec toi, je suis sûre que tu voles depuis que t’as appris à marcher. T’es le genre de mec contre qui mes parents me mettent en garde : « Rebecca, arrête de te pavaner avec ton manteaux en cils de biche, tu vas faire des envieux » et je suppose que tu fais partie de ces envieux qui n’hésitent pas à dérober les biens des autres ? » « Mh, tu as été bercée d’histoires me concernant, ça me plait ! Euh, juste par curiosité.. combien d’yeux de biche dépoilés pour faire un pull ? » Non sérieux, ça me tracasse. Non pas parce que l’âme d’un amoureux des animaux se cache sous ma surface de malfrat, mais d’un coup je me dis que s’il faut tuer des bestioles pour ce genre de vêtement, je pourrais faire affaire avec les fournisseurs de Bekah – les cils pour eux, la viande pour moi. Ça sonne vraiment bien non ? … Mais bon, allez proposer une telle chose à Hwang Bekah. A coup sûr elle me traiterait de mendiant ! De toute façon je n’ai pas le temps d’y penser bien longtemps, pris de court par ses envies d’affronter la mort en face.

La suite est violente. Sanglante. Une vraie scène de guerre digne de figurer dans un drama trash. Mes actes de bravoure sont au moins salués par le regard brillant et émerveillé que pose sur lui la donzelle en détresse et ça, ça vaut relativement les coups essuyés. Enfin, quand on n’oublie pas le fameux zéro, tant espéré, qui a rythmé ma journée ! … Mais mon élan est stoppé net par l’intervention d’un Jae Won de mauvaise humeur ; doit-je y voir une malédiction ou plutôt un sauvetage inespéré… ? Un peu des deux, j’suppose. Les heures de travaux dont j’écoperai encore représenteront assurément l’aspect le moins plaisant de l’histoire, mais voir la foule d’enragées tenter de se disperser au pas de course est tout de même réconfortant. C’est ça, fuyez bande de gueuses ! Le mieux reste l’instant où les principales protagonistes (les plus dangereuses), puisqu’elles ont eu le malheur de traîner, se font ramasser par les autres policiers présents sur les lieux. « Ma parole, t’as cru que tu partais gérer une émette ou quoi ? », je me moque en observant la scène alors que Jae me tord les bras en arrière. Je ris beaucoup moins en remarquant l’absence de mon appareil photo et en me retrouvant forcé de me taire, sans même savoir ce que deviendra mon précieux… je ne pourrai pas me permettre de le rembourser à mon boss, ce serait une dépense aussi énorme qu’inutile ! « Promis, juré, si je sors vivante de tout ça, j’envoie tous mes Marc Jacob aux démunis en Thaïlande ou à Haïti, or whatever. » Je jette un œil un peu plus loin et voit Bekah se mettre à crier son mécontentement – poulet vient de lui tomber dessus. « Peu commode, ta copine. » C’est un tel euphémisme que je ne peux me retenir d’éclater de rire en l’entendant. Ma tentative pour la rassurer à distance est un échec, pas assez de complicité entre nous pour que la télépathie fonctionne ; si bien qu’elle continue de hurler son mécontentement. « T’as pas idée ! Par contre, ne laisse pas entendre que tu l’as cataloguée comme étant « ma copine » sinon tu vas prendre cher… ah non attends, ça va déjà être le cas quand tu l’emmèneras au commissariat en fait. » « Arrête de faire le malin et rentre là-dedans ! » « Oui chef, bien chef ! J’connais le chemin ça va, pas la peine de pousser… » Je m’engouffre dans l’habitacle, blasé par le décor familier (banquettes inconfortables, odeur de tabac, double grillage entre les passagers et les sièges avant, menotte liant son poignet à la porte du fait de tentatives de fuite ultérieures). Un flic commence à approcher avec quelqu’un d’autre et… j’écarquille les yeux, horrifié en reconnaissant Pigzilla-bis. « Andwae, andwae ! » Tout en beuglant mon refus, je jette ma jambe en travers du siège juste alors qu’elle se faisait embarquer – résultat, mon pied atterrit droit dans le bide du danger public qui tente immédiatement de se jeter sur moi. Elle doit plus ou moins considérer qu’elle se retrouve là par ma faute, vu son regard de tueuse. Hyungnim, hyungnim ! » Jae Won accourt, visiblement furieux. « Yah Sun Hyo Dae, chugulle ? Si tu me déranges encore je – » Pas le temps pour le menaces ! « Empêche-le de me refiler cette folle, sinon ce ne sont pas deux suspects que tu ramèneras, plutôt une psychopathe et un cadavre ! Ou alors détache-moi, je pourrai au moins – » Je peux courir si j’espère le faire opter pour la deuxième idée, je sais. Il me coupe d’ailleurs en pleine phrase, à son tour. « C’est ça, espère toujours. Hoobae, trouve une autre voiture pour celle-ci. » Ah, j’aurais vraiment préféré qu’on me libère la main, elle a tout un tas de bons plans d’évasion la petiote. Mais ça aurait été trop beau.

Un officier conduit finalement Bekah dans la voiture ; soulagement ! Qu’on ne me refile pas une Belieber, je tiens à la vie. Attendez… mais elle en est aussi une, maintenant que j’y pense. Je lui jette un regard méfiant en me demandant si le fond de folie propre aux membres de la secte ne risque pas de s’éveiller sous la pression, mais elle me surprend en se mettant à rire. Vous voyez, l’un de ces éclats cristallins qu’on ne décrit que dans les livres et qui vous font prendre conscience que vous fréquentez des paysans. Je grimace, agacé, ce qui ne doit pas arranger mon allure. « Si tu voyais ta tête ! » Ah, même dans un état pareil elle se moque d’autrui ? Incroyable mais vrai. J’affiche une mine outrée. « La faute à qui ? On est dans la même galère je te signale. » D’un geste du menton je lui désigne le rétroviseur, pour qu’elle ait le plaisir de se tortiller pour apercevoir son état. Sauf qu’elle a d’autres préoccupations, et logiques pour une fois : « Sunday, rassure moi s’il te plait, sinon je vais faire un arrêt. Tu as bien pris les clichés ? Où est ton appareil photo ? Ne me dis pas que tu l’as fait tomber sinon je vais te sauter dessus, t’arracher tous tes cils et en faire un sac. J’en suis capable et je l’ai déjà fait. » Je frissonne en l’entendant mentionner de nouveau ces créations de mode à base de cils – est-ce que les cils humains sont aussi utilisés pour des trucs de ce style ? « Horreur et damnation, je savais que la psycho-belieber qui sommeille en toi finirait par tenter de s’en prendre à moi ! Pas besoin de passer aux menaces, tout est sous contrôle. » Enfin je crois… Jae Won Hyung m’aime bien, j’en reste persuadé. Il a sûrement récupéré mon appareil – sinon je volerai à droite et à gauche pour me procurer de quoi payer l’appareil, moins par nécessité que pour avoir le plaisir de lui dire que je l’ai fait par sa faute. « Et puis on nous emmène où là ? Au poste ? On va être en garde à vue ? La presse va être au courant ? Velvet Dust sera informé ? Je peux appeler quelqu’un ? Ne me dites pas que je vais restée avec des criminels ! J’ai rien fait, moi ! C’est quand même dingue, des tarées me tabassent en plein milieu de la rue et moi, Hwang Bekah, JE suis arrêtée. Argh… » « Yah yah yah ! Ça t’arrive d’arrêter une minute de ne penser qu’à toi ? J’t’avais dit que je risquais mon travail avec cette histoire, et est-ce que tu m’as écouté ? Non bien sûr, ce que Hwang Bekah décide, Hwang Bekah le fait, même si la foudre doit s’abattre sur les autres pour ses merveilleuses idées. Sans compter que j’ai failli me faire tuer pour te sauver, alors un peu de reconnaissance bordel. » Je ne crois pas vraiment que ma petite diatribe percera les couches d’égocentrisme qui recouvrent son cœur, le but était plutôt… « Aish, je me sens mal… » Je mime un malaise et dodeline un instant de la tête, les sourcils froncés et le regard flou, avant de me pencher un peu plus pour poser ma tête sur ses cuisses, limité par la menotte qui m’oblige à tendre le bras au maximum. « Réveille-moi quand on arrive, et ne me secoue pas trop hein, je crois que je vais rendre mon déjeuner sinon… » Aucune chance, j’ai l’estomac vide, mais ça elle n’a pas besoin de le savoir.

« Ma vie, ma carrière, tout est fichue, je n’ai plus qu’à poster une sextape sur internet pour faire parler de moi… » Oh ? Oh ! Je me redresse d’un coup, comme électrocuté (ou revigoré) par l’idée. « Je ne savais pas que c’était ton genre », je souffle, choqué, avant de secouer la tête et de lui adresser un sourire en coin. « Cela dit si tu n’as pas encore de partenaire en tête… » Quoi ? Je ne fais que me proposer par pure… générosité, voyons ! La voiture freine brusquement et je manque de m’exploser le nez dans le grillage de sécurité. Jae Won est à côté de la voiture en moins de deux et s’empresse d’ouvrir la portière : « Fin de la balade, tout le monde descend. » Aha, très drôle.
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mes journées sont bien remplies : Visionnaire chez Velvet Dust.
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« Mh, tu as été bercée d’histoires me concernant, ça me plait ! Euh, juste par curiosité.. combien d’yeux de biche dépoilés pour faire un pull ? » Typiquement une question de pauvres : ils se soucient des détails là où nous voyons seulement l’ensemble, c’est-à-dire un manteau magnifique et douillet. « Le vendeur m’a certifié qu’aucune biche n’a souffert, les cils étaient déjà tombés au sol et ils ont seulement été ramassé. » Voyons, je me soucie un minimum des animaux,  (même si je les préfère largement en fourrure qu’en vrai, ils sont bien moins effrayants de cette manière) ça m’aurait dégoûtée de savoir qu’une malheureuse biche ait dû souffrir pour un manteau que je porte.

En parlant de souffrance, les Belipetasses s’étaient bien défoulées sur moi et semblait tellement acharnée que je pensais que ça n’allait jamais finir. Quand on avait réussi à les contrôler un minimum, la police s’était ramené. Ca m’aurait arrangé, si seulement je n’avais pas été traîné avec la masse de pestes vers les voitures des officiers. Sidérée, j’avais fais un vrai scandale mais rien à faire, le type dégoûtant qui m’avait attrapé ne voulait m’écouter. Quelle poisse ! J’étais vraiment une victime du début à la fin dans cette affaire. Le hasard faisait bien les choses au moins parce que je m’étais retrouvée dans la même voiture que Sundae. N’allez pas croire que ça me fait plaisir, c’est quand même de sa faute si j’en suis là mais au moins, c’était rassurant de savoir que je n’étais avec une des folles. Nous étions tous deux dans un piteux état, une véritable catastrophe visuelle. Heureusement que personne ne m’avait vu ainsi parce que certes, je voulais jouer la fille victime de son idylle mais sans avoir l’air d’une catcheuse défigurée. Je n’avais pas pu m’empêcher de rire comme une gosse devant la face de Sundae, encore traumatisée par les Belibiatches. « La faute à qui ? On est dans la même galère je te signale. » Le culot de ce type me choquera toujours autant, il pensait que c’était de ma faute si on en est là alors que c’était presque s’il avait commandité toute cette situation pour avoir son scoop. « Stupid ! La seule chose pour laquelle je pourrais être blâmée, c’est pour ne pas avoir réussi à protéger ma sublime robe des folles furieuses » répliquai-je, l’air outrée. Je n’avais pas encore vu ma tête mais c’était mieux ainsi, j’avais peur d’en être choquée –je me pensais défigurée, pleine de bleus, avec du sang sur tous le visage-. « Horreur et damnation, je savais que la psycho-belieber qui sommeille en toi finirait par tenter de s’en prendre à moi ! Pas besoin de passer aux menaces, tout est sous contrôle. » Au moins, il avait les photos, je ne m’étais pas laissée tabasser pour rien. Ouf ! Il manquerait plus qu’il ait fait tombé son appareil photo ou qu’on le lui ait volé, ce serait la goutte qui ferait déborder le vase. « Yah yah yah ! Ça t’arrive d’arrêter une minute de ne penser qu’à toi ? J’t’avais dit que je risquais mon travail avec cette histoire, et est-ce que tu m’as écouté ? Non bien sûr, ce que Hwang Bekah décide, Hwang Bekah le fait, même si la foudre doit s’abattre sur les autres pour ses merveilleuses idées. Sans compter que j’ai failli me faire tuer pour te sauver, alors un peu de reconnaissance bordel. » Super ! Il ne manquait plus que ça, j’étais au plus mal et monsieur nous faisait sa drama queen à deux wons. «  Moins fort ! Tu nous fais ta crise d’ado en retard ou quoi ? Et puis t’exagère, t’es toujours vivant, c’est l’essentiel pour toi tandis que moi je suis dans un super mauvais état et … non, je sais même pas pourquoi je te dis ça, tu comprendrais pas, de toute manière » Et je ne lui en voulais pas de ne pas comprendre, il n’est pas du milieu, il ne comprend pas à quel point l’apparence est importante, que dans mon monde, on se fait rejeter si on ne rentre pas dans un 36 ou si on n’est pas au courant des dernières tendances. « Aish, je me sens mal… Réveille-moi quand on arrive, et ne me secoue pas trop hein, je crois que je vais rendre mon déjeuner sinon… » Je commençai presque à avoir de la peine pour lui quand il se releva d’un coup, presque en sursaut en m’entendant parler de sextape. Incroyable mais vrai, j’avais affaire à un vrai comédien, ma parole. « Je ne savais pas que c’était ton genre » Ugh, bien sûr que ce n’est pas mon genre, je tiens à mon image. Heureusement pour moi, aucun scandale de ce type n’éclatera jamais à mon sujet, j’ai supprimé toutes photos/vidéos compromettantes du téléphone de mon ex et je ne compte plus jamais faire l’erreur d’envoyer des photos dénudées à qui que ce soit. Imaginez la honte … mes proches trouverait ça tellement pas classe et je pense que je m’exilerais loin pour éviter le scandale. « Cela dit si tu n’as pas encore de partenaire en tête… » « N’y pense même pas ! » lui répondis-je d’un air menaçant, il avait de la chance que je sois menottée à ce moment là sinon ... non, je ne voulais plus utiliser la violence aujourd’hui. «  Heureusement que je ne suis pas visuelle, sinon j’aurais eu en tête des images traumatisantes pour tout ma vie, ugh. »

Un coup de frein brusque me fit sursauter. « Fin de la balade, tout le monde descend. » Je levai les yeux en l’air pendant que ce personnage agaçant me faisait descendre du véhicule. «  Vous ferez moins le malin plus tard, croyez moi » et je continuais à le menacer à voix basse, dans ma barbe, même si j’étais convaincue qu’il entendait tout. Il nous emmena jusqu’au poste où se trouvait déjà tous mes agresseurs. Si mes yeux étaient des armes, ces garces seraient déjà toutes mortes et enterrées. Après tout ça, il me faudrait minimum un week-end de thalasso pour reprendre des forces et décompresser. «  J’aimerais parler à vos supérieurs puisqu’apparemment, vous me semblez bien incompétent.» Il devait ne pas savoir qui j’étais, ce que je trouvais étrange puisqu’il faut vivre isolé, dans une grotte, sans sortir, ni regarder la télévision pour ne pas me connaître. Je suis ce qu’on appelle une socialite, j’apparais dans tous les évènements, je me pavane, passe mes journées à vider mon compte et grâce à ma popularité, j’ai lancé avec ma sœur, Rachel, une marque de cosmétique à notre nom. « Ecoute, tu te mets avec les autres et tu attends qu’on s’occupe de toi, t’es pas princesse ! » Je grinçai des dents, en imaginant déjà comment je lui ferais perdre son job une fois toute cette histoire terminée. Heureusement pour moi, un nouvel officier sortit de son bureau et je me ruai presque vers lui pour m’apitoyer sur mon sort. « Monsieur l’agent, je suis Rebecca Hwang, visionnaire chez Velvet Dust. Je pense qu’il y a eu un sacré mal entendu dans cette histoire. En réalité, je me suis retrouvé malgré moi dans une bagarre généralisée dans laquelle je suis la victime. Je sortais de la voiture de mon petit copain et ces folles m’ont poursuivi avant de me ruer de coups. Pour que mon malheur soit complet, le police n’est même pas venu m’aidé et à la place, j’ai été emmené de force au poste, en gros, on m’a mise au même niveau que ces tarée qui m’ont tabassé. » Il arqua un sourcil, comprenant visiblement l’erreur de ses collègues. « Je suis outrée face au manque de professionnalisme de vos camarades et sachez que je n’en resterez pas là » ajoutais-je d’un air contrarié mais au moins, ça avait fait son petit effet car il paniquait. « Je vous prie de m’excuser et d’excuser mon équipe, s’ils savaient qui vous étiez, rien de tout ça ne serait arrivé, je vais m’occuper de cette affaire immédiatement » et sur ce, il fit signe à ses collègue de le rejoindre dans son bureau. Enfin quelqu’un de censé, ça me rassurait ! Vu son regard, il devait se demander pourquoi Hwang Rebecca était dans une telle tenue et je le comprends totalement, je suis –en temps normal- toujours à mon avantage. «  T’as vu ça Hyodae, on ne va pas tarder à sortir » On ? Je n’avais plaidé qu’en ma faveur, sans même inclure mon acolyte dans l’histoire. Ooops … que voulez-vous, mon instinct de survie m’avait guidé sans trop réfléchir.  «  Bon, va falloir que je te défende auprès de l’officier, il a convoqué son équipe dans son bureau mais une fois sorti, je pense qu’il sera de notre côté. J’te jure, il a vraiment eu peur quand il m’a vu, hilarant » J’aime tellement quand les gens ont peur de moi. « Ah et n’oublies pas ton appareil photo, hein ! Ce serait dommage qu’on ait subi tout ça pour rien » En attendant, j’en avais marre de ce poste de police : j’avais faim, j’avais soif, j’avais chaud, j’avais sommeil et surtout, j’en pouvais plus de cette odeur d’humidité qui me chatouillait le nez.

Le supérieur sortit de son bureau et en voyant la mine abattue des agents qui nous avaient arrêté, je leur offris mon plus beau sourire (hypocrite). « Le problème est résolue mademoiselle Hwang, vous êtes libres. Acceptez, encore une fois, mes excuses et celles de mon équipe. » Et puis quoi encore ! Il retira mes menottes, je me sentais enfin libre et c’était le meilleur sentiment du monde. « Hé bien, cette expérience a été traumatisante pour moi mais je fermerais les yeux cette fois-ci. Je suis une pacifiste dans l’âme mais n’oubliez pas à qui vous avez affaire, j’aurais pu tous vous faire virer si j’en avais envie. » Je suis sûre que l’avocat de ma mère –l’un des meilleurs de Séoul- en aurait été capable si telle avait été ma volonté. « Vous pouvez aussi libérez mon … euh … mon ami » Je ne savais pas trop comment définir ma relation avec Sundae et ça aurait été trop bizarre de dire « mon paparazzi personnel ». « Il est aussi innocent que moi, il n’a fait que de m’aider. Sans lui, j’aurais été massacré par ces tarés. » Qu’il ne pense pas que je lui jette des fleurs parce que c’était loin d’être le cas, je voulais juste sortir au plus vite de cet endroit. « D’ailleurs, vous pouvez nous rendre son appareil photo ? il y tient beaucoup ! »
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Lim Raphael
Les squelettes de son placard
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Lim Raphael
tel un warrior j'ai débarqué le : 29/11/2013
tema la secla, j'ai tant de messages : 716
et j'ai déjà la blinde de k₩ : 4900 alors j'suis célèbre à ma façon: :
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Azi tu veux un rp ? je suis : no more !
et l'actuelle je la dois à : tumblr (avatar) ; dusty scarecrow (signature) ; pandora (rp)
en rp j'suis le sosie de : Jung Taekwoon aka Leo [VIXX]
On me connait en tant que : Red, Raph, Raphou
J'ai la vie d'vant moi, du haut d'mes : 22 ans
Mais j'en ai déjà vécu des choses :
mes journées sont bien remplies : Etudiant en commerce, caissier au McDo et .. Jungwi (mafia)
avis aux stalkeurs :

ONGOING
leo aime dora w/ bamboleo

DONE
womanizer w/ mikeystufé

checke ma to do list :

Réussir mes études • Récupérer l'argent de la prostitution et des salles de jeu • Faire attention à bien garder mon secret • Acheter des super cadeaux à mes frères • Me payer l'intégrale des Tortues Ninja • Acheter ce manteau paru dans VD • Acheter une machine à café pour l'appart, une vraie ! • ..

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Je suis unique
UN BONUS POUR TES BEAUX YEUX:
CITATION: Eyes open, mouth shut.
JUKEBOX: The Weeknd - Rolling Stone

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